Article publié par El Watan le 19/04/2016
 
Le développement dur secteur agricole et agroalimentaire ne saura se 
faire sans l’implication des investisseurs privés, aussi bien en amont 
qu’en aval. 
Le développement dur secteur agricole et
 agroalimentaire ne saura se faire sans l’implication des investisseurs 
privés, aussi bien en amont qu’en aval.
« Il ne faut pas attendre  que tout 
vienne des pouvoirs publics.  Nous encourageons l’investissement privé 
dans le domaine agroalimentaire », a déclaré le ministre de 
l’Agriculture, Sid Ahmed Ferroukhi  ce mardi lors d’une conférence de 
presse à Alger.
 Et de rappeler, que le capital privé détient une part très importante 
dans les investissements effectués ces dernières années dans l’industrie
 agroalimentaire.
 «Sur les 20 000 projets d’investissements lancés ces 5 dernières années
 pour un montant avoisinant les 200 milliards de dinars, la plus grande 
partie de la dynamique est privée », s’exclame le ministre qui insiste 
sur l’importance de continuer dans cette lancée afin d’investir sur des 
métiers encore peu développer, notamment de logistique.
 Les objectifs capitaux pour le secteur demeurent l’augmentation des 
capacités de résistances aux chocs climatiques et du marché, la 
consolidation de la sécurité alimentaire et la diversification de 
l’économie. Pour le moment, plus de 80 pôles répartis sur le territoire 
national et qui assure plus  80% de la production nationale, sont 
enregistrés par le ministère.
 Le département de l’agriculture compte, d’autre part, encourager la 
tendance exportatrice des produits agricoles et agroalimentaires 
d’autant plus que certaines filières enregistrent un excédent.
 Il est, dans ce cadre, prévu d’améliorer la capacité d’exportation de 
la pomme de terre. Le volume à exporter devra passer de 2000 tonnes 
actuellement à 70 000 tonnes, précise le ministre. 


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