samedi 2 avril 2016
jeudi 31 mars 2016
DGRSDT: Plateforme de gestion des équipements scientifiques lourds
Nous tenons à informer nos collègues chercheurs que la DGRSDT a mis en place une Plateforme de gestion des équipements scientifiques lourds pour la mutualisation du matériel scientifique que vous trouvez en appuyant sur le lien suivant:
http://www.dgrsdt.dz/index.php?p=4
Rubrique: Ressource
Sous rubrique: PG2ESL
Station Régionale de l'INPV: Enquête sur le charançon rouge, le tueur de palmiers
La deuxième enquête nationale pour découvrir le charançon rouge des palmiers, qui touchera les wilayas d'Oran et Ain Témouchent sera lancée à la fin du mois de Mars en cours tel que rapporté par la directrice de la station régionale de la protection des végétaux à Messerghine à Oran.
L'objectif de cette enquête, qui durera jusqu'en Juin prochain à
l'initiative de l'Institut national de protection des végétaux en
collaboration avec les directions des services agricoles des palmiers de
décorations dispersés à travers les rues et les propriétaires de
pépinières et dans certaines fermes au niveau des deux wilayas d’Oran et
d’Ain Témouchent est de détecter cet insecte qui se transmet aux
palmiers dattiers, a-t-elle ajouté, Bakri Nawal. Pour détecter ce
charançon rouge, il sera mis en place au cours de cette enquête, des
pièges avec utilisation de phéromones pour attirer les mâles de cet
insecte au niveau des sites où se trouvent les palmiers de décorations
et leur surveillance pour voir leur présence ou non selon le même
responsable, soulignant que les résultats de l'enquête seront soumis au
Ministère de l'agriculture et du développement rural et de la pêche.
Dans le cadre de cette enquête menée par 15 stations pour protéger les
plantes à l'échelle nationale, il a été procédé, avant-hier, à
l'organisation d’une rencontre régionale d’information à la station
régionale de protection des végétaux à Messerghine pour sensibiliser les
agriculteurs et les services agricoles sur les dangers de cet insecte
et de mettre en place un plan d’intervention pour la prévention contre
ce fléau, qui peut cibler le palmier dattier, a-t-on indiqué de la même
source, soulignant que tous les pays méditerranéens souffrent de cet
insecte, comme l’avait également expliqué la directrice de la station de
protection des végétaux à Misserghine, que les résultats de la première
enquête, qui a été menée en 2012 au niveau national, a touché le
palmier de décorations et les dattes ont montré l’inexistence de cet
insecte en Algérie.
Publication récente: Présence d’antibiotiques dans les agro-écosystèmes
L'Organisation mondiale de la Santé (OMS)a identifié la
résistance aux antibiotiques comme une menace sérieuse pour la santé humaine à
travers le monde . Le Journal of Environmental Quality ( JEQ ) a récemment
publié un numéro spéciale intitulée « Les antibiotiques dans les
agroécosystèmes " pour aborder la science de ce sujet important.
Pour plus de détails...
Plantes transgéniques résistantes à la sécheresse
Des chercheurs de l'Université Purdue (USA) développent des plantes transgéniques résistantes à la
sécheresse grâce à la production accrue de la protéine connue sous le nom PYL9.
L'étude offre un aperçu des mécanismes de survie à la
sécheresse des plantes et présente un moyen possible de protéger les cultures
contre le stress de la sécheresse sévère.
Publication récente: L’agriculture biologique pour nourrir la population mondiale de manière durable
Une nouvelle étude démontre le rôle clé de l’agriculture biologique pour nourrir la population mondiale de manière durable
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« Conférence EuroMaghrébine des BioComposites »
La 1ère « Conférence EuroMaghrébine des BioComposites » s'est tenue tient les 28 et 29 mars 2016 à Marrakech (Maroc).
La Faculté des Sciences et Techniques de l’Université Cadi Ayyad et l’Université de Reims Champagne Ardenne a organisé la 1ère
Conférence EuroMaghrébine des BioComposites le 28-29 Mars 2016 à
Marrakech, Maroc.
Conscients de l’importance des
Biocomposites et leurs capacités à répondre aux exigences
environnementales et économiques, les organisateurs de cette 1ère
Conférence offrent une opportunité de rencontre et d’échange entre
chercheurs et industriels des deux rives de la méditerranée. L’objectif
est de favoriser la recherche et l’innovation autour de la
valorisation des substances naturelles locales du bassin méditerranéen
et de promouvoir l’utilisation des biocomposites dans des produits
ciblés (énergie, transport, santé. construction…).
Le Réseau EuroMaghreb BioComposites est
une association à vocation régionale, impliquant les pays des deux rives
de la méditerranée, constituée de membres ayant des activités
scientifiques et/ou industrielles dans le domaine des agro-matériaux,
notamment les biocomposites.
L’implication des mondes académique et
industriel en Tunisie, Algérie, Maroc, Espagne, France et Italie définit
la couverture géographique du réseau actuel. Cette implication
construit une communauté d’intérêts autour des profils
d’Enseignants-Chercheurs, de Stagiaires Master et Ingéniorat, de
Doctorants, de Post-Doctorants, d’Ingénieurs et de Techniciens en
exercice (Recherche & Développement, production et gestion, qualité,
commercialisation), de Responsables d’Entreprises (Chefs, DG, PDG) et
d’Organismes Institutionnels).
Le réseau s’est doté d’une charte qui a
vocation à structurer son fonctionnement entre les pays concernés. Son
acception permettra la construction d’une communauté de fait «
EuroMaghrébine » des Biocomposites.
Drone agricole : vol au-dessus d’une agriculture intelligente
mercredi 30 mars 2016 à 06:02 •
Sébastien Duquef
•
Terre-net Média
© Tous droits de reproduction réservés - Contactez Terre-net
Drone agricole souhaite développer une agriculture intelligente, en
s’appuyant sur le logiciel ArcGIS, une solution d’Esri (1). À partir
d’images prises par drone, le progiciel interprète et cartographie des
données, selon des critères personnalisés. À la fin, la carte est
convertie et intégrée dans le terminal du tracteur. L’engin n’a plus
qu’à gérer la régulation de l’épandage. Explications.
Après le survol de la parcelle par un drone, une cartographie est établie. (©Oxygen)
Pour favoriser le développement de l’agriculture de précision, la société Drone agricole
prend en compte de manière efficiente les données
agro-éco-climato-pédologiques. Ainsi, l’agriculteur peut agir d’une
manière ultra ciblée. L’entreprise s’appuie sur les technologies de
Système d’information géographique (Sig) d’Esri. Elle complète de cette façon son offre d’imagerie et génère des outils d’analyses détaillés.
Pourquoi les Sig ?
Le rôle de l’intelligence géographique
est fondamental dans l’interprétation de l’environnement agricole. Son
objectif est d’apporter, aux exploitants, des solutions non pas
standardisées mais personnalisées, en fonction des problématiques, des
besoins et des spécificités de chacun.
Le Sig collecte
les données récoltées grâce aux prises de vue aériennes réalisées par
Drone agricole. Ensuite, en analysant finement les paramètres
environnementaux de l’exploitation (le sol, le type de semences, le
climat, etc.), les progiciels OAD (outil d’aide à la
décision) deviennent indispensables, car ils rendent l’agriculture plus
efficace et respectueuse techniquement, économiquement et
environnementalement.
Pour Drone agricole, la valeur ajoutée de ses images est le Sig. Les ModelBuilder
d’Esri automatisent et documentent les analyses spatiales et la gestion
de ces données. Ces modèles font parler les parcelles grâce à la
combinaison d’informations. Celles-ci reçoivent des coordonnées
géographiques précises. Ainsi, les données géolocalisées telles que la
biomasse ou la teneur en chlorophylle serviront à découper la parcelle.
Reste à répartir la dose d’azote selon les hétérogénéités.
Indissociable de l'agriculture de précision
D’autres applications sont possibles comme la modulation
de la dose de semis selon les caractéristiques pédologiques ou encore
la détection des zones endommagées par le gibier. Le Sig devient un
outil d’anticipation capable de prévenir les carences ou les risques
liés à la météorologie ou les maladies.
Les cartes générées par Esri sont converties, puis utilisées directement dans les terminaux des tracteurs des agriculteurs équipés. L’épandage s’effectue ainsi automatiquement. Pour Timothée Barbier,
directeur général de Drone agricole, « le Sig est indissociable de
l’agriculture de précision. L’avantage de la solution d’Esri : elle
traite automatiquement les images fournies et offre un réel confort. »
(1) Editeur de logiciels de système d'information géographique
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Races asines: L’Inra France travaille sur la conservation des races sauvages et domestiques
Les recherches de l’Inra France avancent et devraient permettre la conservation du patrimoine génétique des races d’ânes en cours d’extinction.
L’Institut national de la recherche agronomique (Inra) annonce, dans un communiqué de presse
daté du 14 mars 2016, que des chercheurs ont développé pour la première
fois une technique de collecte in vivo d’ovocytes d’ânesses, qui peut
désormais être utilisée en routine.
Les recherches, menées en collaboration avec l’Institut français du cheval et de l’équitation (IFCE), le Centre national de la recherche scientifique (CNRS) et l’Université François Rabelais de Tours, ont également permis d’étudier la chronologie de la maturation in vitro de ces ovocytes. « Les travaux se poursuivent actuellement avec la mise au point d’une technique de fécondation in vitro visant à obtenir des embryons aptes à la congélation ou au transfert dans une femelle receveuse qui assurera la gestation », précise l’Inra.
La France compte sept races d’ânes. Cinq d’entre elles sont en cours d’extinction avec moins de 100 femelles à la reproduction en 2015 : 23 ânesses bourbonnaises, 34 ânesses grand noir du Berry, 40 ânesses normandes, 43 ânesses de Provence, 88 ânesses du Cotentin. Les deux autres sont, quant à elles, en danger d’extinction avec moins de 300 femelles à la reproduction en 2015 : 136 ânesses des Pyrénées, 296 baudets du Poitou.
« La préservation de ce patrimoine génétique est donc urgente, et passe notamment par la cryoconservation du sperme, des ovocytes et des embryons », estime l’Inra.
Source
Les recherches, menées en collaboration avec l’Institut français du cheval et de l’équitation (IFCE), le Centre national de la recherche scientifique (CNRS) et l’Université François Rabelais de Tours, ont également permis d’étudier la chronologie de la maturation in vitro de ces ovocytes. « Les travaux se poursuivent actuellement avec la mise au point d’une technique de fécondation in vitro visant à obtenir des embryons aptes à la congélation ou au transfert dans une femelle receveuse qui assurera la gestation », précise l’Inra.
La France compte sept races d’ânes. Cinq d’entre elles sont en cours d’extinction avec moins de 100 femelles à la reproduction en 2015 : 23 ânesses bourbonnaises, 34 ânesses grand noir du Berry, 40 ânesses normandes, 43 ânesses de Provence, 88 ânesses du Cotentin. Les deux autres sont, quant à elles, en danger d’extinction avec moins de 300 femelles à la reproduction en 2015 : 136 ânesses des Pyrénées, 296 baudets du Poitou.
« La préservation de ce patrimoine génétique est donc urgente, et passe notamment par la cryoconservation du sperme, des ovocytes et des embryons », estime l’Inra.
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