samedi 22 août 2015

Séminaire International En Biologie (1er SIB). Université De Béchar

Université TAHRI Mohammed Béchar
Faculté des Sciences de la Nature et de la Vie
Laboratoire De Recherche VRVSA - Bechar

      Valorisation des ressources végétales et sécurité alimentaire dans les zones semi-arides

       06 -08 décembre 2015 

       

Transformation de produits végétaux : Valoriser les co-produits et déchets agricoles en alimentation humaine

21/08/2015 | par HB | Terre-net Média
 
ChangeXplorer propose une technologie permettant d’extraire et de concentrer les macromolécules solubles des co-produits de l’agriculture et des eaux de rejet pour améliorer le rendement de la transformation de matières premières agricoles végétales.


ChangeXplorer souhaite valoriser les co-produits, les déchets, les eaux de process et les eaux résiduaires issus de la transformation des produits agricoles. Ainsi, les drêches, sons, pulpes et tourteaux ne sont plus uniquement bons à nourrir les animaux. Un brevet a été déposé pour cette technologie permettant l’extraction et la concentration des macromolécules solubles des co-produits agricoles et des eaux de rejet. Différentes molécules sont extractibles par cette technique : protéines solubles et insolubles, fibres solubles et insolubles, pectines, polyphénols, sucres en C5 (arabinose, xylose...), vitamines,… « Nous agissons sans produit chimique et exploitons simplement et logiquement ce que la nature met à notre disposition. Sans technologie complexe, dégradante, ni coûteuse », explique François Rolin Maarouf, le président de ChangeXplorer.

Ce procédé s’adresse à tous ceux qui intègrent des matières végétales dans leur process. Il permet de « concentrer la masse et les arômes des fruits et légumes, extraire les molécules nobles des déchets et co-produits, pour les réintroduire dans le produit concerné, ou innover en créant de nouvelles textures, des produits à base de fruits ou légumes de nouvelle génération, plus riches en arômes et en composants nutritionnels ». Concrètement, ce procédé concentre les fibres et protéines qui pourront être intégrées dans d'autres produits ou utilisées pour stabiliser la texture et la composition nutritive des produits existants sans changer leur étiquetage.

« De la peau de pomme de terre par exemple, il est possible de floculer les fibres et protéines solubles. Certains arômes lipophiles et polyphénols (acide chlorogénique) extraits permettent lorsqu’ils sont réintroduits dans la purée de la stabiliser et renforcer le goût du produit. D'autres molécules sont extraites à partir des eaux de coupe et de blancheur et utilisées de la même manière pour augmenter le rendement en produit fini. » Un procédé utilisable également sur la tomate, la pomme, le maïs, le blé, l’orge, le soja, le raisin, la banane…

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jeudi 20 août 2015

Séminaire international en biologie (1erSIB- BRSA) « Bio-Ressources et sécurité des aliments »



Université TAHRI Mohammed de Béchar
Faculté des Sciences de la Nature et de la Vie
Laboratoire De Recherche VRVSA - Bechar
      Valorisation des ressources végétales et sécurité alimentaire des zones semi-arides











































06 -08 décembre 2015 à l'université Tahri Mohammed Bechar Algérie
 
Dans le cadre de ses activités scientifiques, la faculté des sciences de la nature et de la vie en collaboration avec le laboratoire de recherche (valorisation des ressources végétales et sécurité alimentaire  dans les zones semi aride « VRVSA »)  organise le premier séminaire international en biologie (1erSIB- BRSA) « Bio-Ressources et sécurité des aliments » du 6 au 8 Décembre 2015 à l’université de Bechar.
Préambule du séminaire
A vocation pluridisciplinaire le premier séminaire international sur les Bio ressources naturelles et sécurité des aliments vise à mettre l’accent sur l’importance, la sensibilisation et la compréhension des enjeux des bio-ressources et à développer des solutions aux différentes problématiques qu’elles présentent.
Ce premier séminaire (1erSIB- BRSA) qui se tiendra à l’université Tahri Mohamed  de Bechar se propose de faire le point sur les innovations technologiques et l’avancement des travaux de recherche dans le domaine de la biologie et sera une occasion de concertation et de débat entre universitaires chercheurs industriels et collectivités locales impliqués dans la gestion des dites ressources et sécurité des aliments.
Objectifs du séminaire

Cette rencontre a pour objectifs de:
  1. Établir et renforcer le partenariat entre les différents participants et institutions.
  2. Engager des réflexions et des propositions sur les divers aspects de la valorisation et de la gestion des bio-ressources.
  3. Offrir aux jeunes chercheur et doctorants d’élargir leurs horizons et la possibilité de présenter leurs résultats de recherche.
  4. Réunir les universitaires, les chercheurs et les industriels spécialistes ou intéressés par la biologie en tant que moteur de la recherche pharmaceutique.
  5. Contribuer au développement d’une recherche adaptée aux besoins socio-économiques du pays.

Site web de l’évènement:
http://www.seminaireinternational.sitew.org/#Acceuil.A

Secteur de l’agriculture : Investir pour améliorer la qualité et diversifier les produits

Le Président de la République, qui a défini aux membres du Gouvernement le programme à suivre, visant, entre autres, la dynamisation de l’outil économique, a rappelé que le développement et la promotion de la production nationale constituent un des axes majeurs autour desquels doit s’inscrire l’ensemble des démarches sectorielles.

PUBLIE LE : 20-08-2015 |

L’agriculture est, dans cette démarche, un des segments structurants pour lequel  l’État a déjà consenti des efforts importants devant se traduire par des résultats tangibles en matière d’amélioration qualitative et quantitative de la production, en termes d’assurance de la sécurité alimentaire du pays.       
Tous les acteurs économiques et sociaux nationaux ont souligné leur disposition à contribuer à la conception et à la mise en œuvre des solutions qui mettraient l’économie nationale en situation de consolider sa croissance, de renforcer sa compétitivité, d’investir massivement, d’impulser un mouvement intensif de création d’entreprises et d’emplois et, partant, en situation de développer à grande échelle la production dans l’industrie, l’agriculture et les services, ce qui permettra d’accroître les exportations hors hydrocarbures.

Les orientations du Chef de l’État en termes de développement et de promotion de la production dans l’agriculture semblent prendre de la consistance dans la pratique, puisqu’un comité national de labellisation des produits agricoles du terroir a été mis en place, fin juillet dernier, dans le but d’accompagner les agriculteurs dans ce processus qui permet de garantir l’origine ou la qualité de leurs produits.
L’installation de ce comité intervient suite au décret exécutif, publié le 7 juillet 2013, portant sur le système de qualité des produits agricoles ou d’origine agricole pour la valorisation des produits agricoles, notamment du terroir, et ce en application des dispositions législatives et réglementaires prévues par la loi d’orientation agricole du 3 août 2008 qui définit l’architecture générale du système de reconnaissance de la qualité des  produits agricoles par des signes liés à l’origine, par des labels agricoles ainsi que des produits d’agriculture biologique.        
Ce comité, que le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche qualifie de nouvel outil, agit de concert avec les associations des producteurs et des éleveurs pour renforcer les autres instruments d’organisation de la production et de l’amélioration de la qualité des produits agricoles du terroir. Il est composé de représentants des administrations publiques de l’industrie, de l’agriculture, des ressources en eau, du commerce, des agriculteurs, des artisans, des institutions techniques, de la société civile et des consommateurs.
Le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche a présidé, au début du mois courant, aux travaux de la Journée nationale de l’Algérie à l’Exposition de Milan 2015, dont le pavillon national a axé sa thématique sur la valorisation du patrimoine agricole et le développement technologique, deux axes importants sur lesquels mise l’Algérie pour assurer sa sécurité alimentaire.

Multiplication des rencontres et mobilisation en faveur   d’une économie nationale diversifiée
D’autre part, le ministre qui a appelé à consacrer les périmètres  irrigués à la céréaliculture et à soutenir les activités de production de lait comme priorité, pour réduire de 80% les charges d’importation de ces produits, a insisté sur la mobilisation de tous les moyens du secteur au niveau central local afin de régler les problèmes auxquels font face les agriculteurs et les éleveurs, lors d’une réunion en présence du secrétaire général de l’Union nationale des paysans algériens et des cadres du secteur. Il a évoqué, à cette occasion, les questions liées à l’ouverture de l’investissement et au problème du foncier agricole, des impératifs pour la mise en œuvre du plan quinquennal, et les nouvelles orientations de l’économie nationale au plan de l’organisation des filières agricoles et de la production à l’horizon 2019 planchent sur la formation des agriculteurs, notamment les jeunes. Il s’agit de soutenir les jeunes agriculteurs dans les campagnes afin d’en faire la locomotive du secteur aux côtés des jeunes diplômés des universités et des instituts. Une réponse devant permettre le rajeunissement, la qualification et la disponibilité de la main-d’œuvre dans le secteur.
Le second segment de l’agriculture, les éleveurs et la production des viandes, a retenu l’attention du ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche qui a affirmé la détermination de l’État  à développer la filière de l’élevage et la production des viandes rouges afin de favoriser la diversification de l’économie nationale.        
Lors d’une réunion avec les représentants des éleveurs, de la Fédération nationale des éleveurs et des filières de la production des viandes, le ministre a insisté sur la relance de la filière de la production de la viande afin d’augmenter la production et améliorer les prix et la qualité des produits en faveur de la diversification de l’économie nationale.   
    
Le ministre, qui qualifie les éleveurs de principal maillon de la chaîne de production des viandes rouges, les a appelés à faire confiance aux professionnels de cette filière et à libérer les potentialités dans ce domaine, en vue de hisser la production nationale. Il a également souligné l’importance de la concertation avec les opérateurs dans toutes les régions, dans le but de traiter tous les problèmes  qui se posent dans ce domaine et tenter de moderniser la filière.   
    
Le ministre a annoncé l’organisation de rencontres de terrain durant les semaines à venir afin d’unifier les efforts, d’aplanir les difficultés et de mobiliser les acteurs du secteur autour de l’économie nationale.
La pêche, un autre segment du secteur, nécessite, pour son développement, des efforts dans la requalification de la main-d’œuvre et une meilleure gestion des moyens disponibles. En effet, la formation, le recyclage et le perfectionnement de la ressource humaine sont au cœur de la stratégie de développement du secteur de la Pêche qui a mis en place un plan de formation de marins pêcheurs, opérationnel depuis 2013 dans huit instituts et écoles spécialisés ouverts dans plusieurs wilayas. Le but étant de refonder tous les modes de formation afin de les adapter aux exigences aussi bien des professionnels que des opérateurs économiques. 
      
À rappeler qu’en 2015, 1.059 professionnels ont été formés en termes de validation de leurs connaissances en tant que professionnels. Il est question d’améliorer la formation des marins pêcheurs pour rentabiliser l’outil de production, d’inculquer aux professionnels des connaissances sur la réglementation et le respect de l’environnement, ainsi que sur l’aquaculture. 

Houria Akram 

Source:  http://www.elmoudjahid.com/fr/actualites/81946


Revue de presse hebdomadaire de l'INRAA du 16 au 20 Aout 2015




Télécharger la revue de presse hebdomadaire de cette semaine relative aux activités du monde agricole nationale en format pdf:  https://drive.google.com/file/d/0B31_DDeBbdcndEJJdWdodXVqRW8/view?usp=sharing

mercredi 19 août 2015

Agroscope lance un réseau «génomique et bio-informatique»

Publié le 18/08/2015

Wädenswil, - Certains microorganismes sont importants pour l’agriculture. L’étude de leur patrimoine génétique apporte de nouvelles connaissances utiles pour la pratique, ce qui en fait une branche incontournable de la recherche agronomique moderne. Les analyses nécessaires sont extrêmement complexes et de nou-velles méthodes voient le jour à un rythme de plus en plus rapide. Par ailleurs, les analyses génomiques génèrent de très grandes quantités de données. Le réseau «génomique et bio-informatique» (ANET-GB) d’Agroscope a pour but d’offrir aux chercheurs et aux chercheuses des conditions optimales pour faire face à ces défis.

La diversité des microorganismes est immense - les souches étroitement apparentées se distinguent seulement par quelques propriétés qui peuvent cependant être décisives dans certains cas. D'un côté, les différences peuvent expliquer que telle souche de microorganismes attaque davantage les plantes ou soit plus sensible aux antibiotiques que telle autre. D'un autre côté, elles peuvent fournir des informations sur l'utilisation éventuelle de certaines souches de microorganismes comme auxiliaires pour lutter contre les agents pathogènes.
Par conséquent, la génomique apporte une aide inestimable dans le développement de méthodes de diagnostic précises et rapides des organismes importants pour l'agronomie, comme les auxiliaires et les organismes nuisibles. En outre, de nos jours, les professionnels de la sélection végétale et animale ne peuvent plus renoncer aux données génomiques, car elles aident à améliorer les propriétés de manière ciblée et à procéder avec succès à des croisements.

Nouveaux défis - analyses complexes et grandes quantités de données
Les technologies de séquençage les plus récentes permettent de déchiffrer simultanément des dizaines de génomes de bactéries. Même les grands génomes comme ceux des plantes utiles peuvent être séquencés en l'espace de quelques semaines par les grands groupes de recherche. Ces nouvelles possibilités signifient qu'on génère aujourd'hui déjà davantage de données que les chercheurs et les chercheuses ne peuvent en traiter. Cette insuffisance en matière d'évaluation bio-informatique s'accentuera encore dans les années à venir: on s'attend à ce que le volume de données de la génomique double environ tous les ans dans le monde. Pour Agroscope, il est par conséquent important de mettre en place une structure permettant d'utiliser les nouvelles technologies de manière optimale sans perdre la maîtrise de la gigantesque quantité de données produites. Or, ce n'est que par le biais d'un réseau de recherche mondial que l'on y parviendra.

Un réseau de soutien
Le réseau «génomique et bio-informatique» (ANET-GB) d'Agroscope a pour but de mettre à disposition des collaborateurs-trices d'Agroscope une plateforme d'information et de coordination et d'offrir ainsi un accès aux compétences-clés nécessaires. Ce réseau permet d'identifier très tôt les intérêts communs et d'exploiter au mieux les points forts des groupes de recherche ainsi que ceux de leurs réseaux externes à Agroscope. De plus, le réseau ANET-GB coordonne les ressources de base dans le domaine de la génomique et de la bio-informatique en permettant l'accès aux ressources internes (spécialistes et appareils) dans le cadre de projets internationaux. Afin de soutenir de manière ciblée la mise en place du réseau ANET-GB, l'accent sera mis dans un premier temps sur l'étude et l'utilisation accrue des microorganismes dans la filière agricole et agroalimentaire.

Adresse pour l'envoi de questions: 

 

Christian Ahrens, Diagnostic moléculaire, génomique et bio-informatique
Agroscope, Institut des sciences en production végétale IPV
Schloss 1, 8820 Wädenswil
christian.ahrens@agroscope.admin.ch
+41 (0)58 460 61 14

Juerg E. Frey, Diagnostic moléculaire, génomique et bio-informatique
Agroscope, Institut des sciences en production végétale IPV
Schloss 1, 8820 Wädenswil
juerg.frey@agroscope.admin.ch
+41 (0)58 460 63 32

Carole Enz, Service médias
Agroscope
Schloss 1, 8820 Wädenswil
carole.enz@agroscope.admin.ch
+41 (5)8 460 62 72

 +41 (5)8 460 62 72

Auteur:

AGROSCOPE
Internet: http://www.agroscope.admin.ch/index.html?lang=fr

Vers une nouvelle génération d’emballages alimentaires

Par Sebastián Escalón pour Inra France Publié le 17/08/2015 
 
 Les emballages alimentaires soulèvent parfois la méfiance des consommateurs, et ce, malgré leur indiscutable utilité. Un projet de recherche, mené par l’Inra France, a mis au point une plateforme permettant de maîtriser le risque que les substances présentes dans les matériaux d’emballage ou du suremballage migrent vers l’aliment. 
 
 
 Que serait le monde sans emballages alimentaires? Une chose est sûre : il ne serait pas facile d’y faire ses courses. Chaque caddy serait rempli d’un amas de steaks saignants, légumes et fromages écrasés, cookies en miettes et œufs cassés. L’emballage a bel et bien une place de choix dans notre société. Qu’il soit en verre, en bois, en plastique ou en métal, c’est lui qui protège l’aliment contre les contraintes et contaminations extérieures afin de maintenir son aspect, son goût et ses qualités nutritionnelles.
 
Pourtant, comme le rappelle Olivier Vitrac, chercheur au laboratoire Ingénierie Procédés Aliments (GENIAL), il existe une crise de confiance vis-à-vis de l’emballage. On l’accuse de polluer la planète, ou encore, de contaminer les aliments avec des substances nocives, comme par exemple les bisphénols ou les phtalates. Pour rétablir la confiance du consommateur et répondre aux préoccupations du citoyen, les industriels de l’agroalimentaire et de l’emballage doivent réduire l’impact écologique du conditionnement et minimiser le risque de contamination des aliments par des substances contenues dans celui-ci. C’est là que la recherche scientifique a son mot à dire.

Un outil pour réduire les risques

SafeFoodPack Design est un projet de recherche qui associe des organismes de recherche, l’Inra en tête, des professionnels de l’emballage et des centres techniques. Son but : évaluer les phénomènes de migration  liés aux emballages alimentaires afin de mieux les prévenir. « Les outils que nous développons permettent aux industriels d’identifier de mauvaises pratiques, de mauvais designs ou l’utilisation peu appropriée de certains matériaux ou substances », explique Olivier Vitrac.
Le projet cherche tout d’abord à identifier les possibles voies de contamination de l’aliment à toutes les étapes de la filière : de la fabrication des matériaux à leur utilisation pour le conditionnement, sans oublier le transport et la préparation des aliments.  

Point important, en matière d’emballage, se contenter de suivre les normes n’est plus satisfaisant. Celles-ci ne sont pas assez harmonisées entre états de l’Union européenne et ne présentent pas le même niveau de sécurité pour tous les matériaux. 

L’une des actions menée par l’équipe de GENIAL a été de déterminer la nature des composants et des substances contenues dans une centaine d’emballages différents.  Ainsi, les chercheurs ont obtenu une base de données représentative des contaminants potentiels des emballages utilisés actuellement par l’industrie.
Les chercheurs ont alors conçu une plateforme permettant de  prévoir la contamination des aliments à partir des seules informations de conception de l’assemblage et de leur utilisation attendue. Cet outil d’évaluation des risques, inspiré de méthodes utilisées dans l’industrie aéronautique, permet ainsi aux industriels de comparer différentes solutions techniques et de choisir le meilleur compromis dès la conception de l’emballage.

Objectif : emballer les industriels

L’un de buts principaux des chercheurs est de voir les industriels modifier leurs pratiques sur la base de concepts de sécurité préventive. Déjà, 400 industriels ont été formés à l’utilisation de ces outils en accès libre et qui peuvent être modifiés. Les chercheurs ont transféré aux centres techniques l’assistance et l’expertise aux industries. En effet, ce sont ces entreprises spécialisées peuvent concevoir de nouveaux services d’assistance et d’expertise pour l’industrie de l’emballage et l’industrie alimentaire. Ces travaux permettront sans doute de rétablir progressivement la confiance du consommateur vis-à-vis des produits alimentaires et de leur conditionnement.

 

dimanche 16 août 2015

Le processus d'empoisonnement des abeilles provoqué par les pesticides (rediffusion)

Par

Le processus d'empoisonnement des abeilles provoqué par les pesticides (rediffusion)
               Test toxicologique. Les abeilles prélèvent une solution sur un abreuvoir. ©INRA/Nicolas Morison

Dans le monde entier, les colonies d’abeilles domestiques disparaissent, laissant les fleurs en manque de pollinisation, au point qu’il arrive que les arboriculteurs fassent appel à des apiculteurs et louent leurs ruches le temps de la pollinisation.
Plusieurs facteurs sont avancés pour expliquer ce déclin des abeilles, en particulier les pesticides qui sont largement utilisés en agriculture. Dans le Midi de la France, l'unité « Abeilles », de l'Institut national de la recherche agronomique, cherche à comprendre ce phénomène.



  Écouter le reportage:


http://www.rfi.fr/emission/20150816-le-processus-empoisonnement-abeilles-provoque-pesticides-rediffusion#