De la nécessité d’apprendre à produire collectivement nos semences potagères
« […] 75% des espèces comestibles
ont disparu en moins d’un siècle. (Chiffres ONU – FAO). La disparition
des savoir-faire et la standardisation industrielle ont appauvri notre
nourriture, au point qu’il faudrait manger 26 pêches d’aujourd’hui pour
retrouver la valeur nutritionnelle d’une pêche de 1950. De même les
variétés de pommes d’autrefois contenaient jusqu’à 100 fois plus de
vitamines que certaines de nos variétés modernes »
Réapprendre à produire nos légumes et à
reproduire les semences qui en sont issues apparaît comme un impératif
sur bien des plans. Quelques éléments de réflexion pour appréhender
cette nécessaire pratique accessible à tou-te-s, infiniment plus
pertinente si développée collectivement.
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