Une innovation qui devrait limiter le gaspillage : un film alimentaire qui étend la date de péremption
Oui, c'est un grand classique : on achète des fruits et des légumes qui finissent par pourrir, parce qu’on ne les a pas consommés assez vite. Avec ce nouvel emballage, ils vont résister deux fois plus longtemps (jusqu’à une semaine de plus). Pourquoi ? Parce que le film libère une substance antimicrobienne qui retarde le pourrissement. C’est une technique développée et brevetée par l’Inra, l'Institut national de la recherche agronomique. Ça vient de la ville Rose, de Toulouse.
C’est quoi ces substances anti-pourrissement, n’y a-t-il pas un risque pour la santé ?
En principe non. Tout ce qui est en contact avec des aliments est strictement encadré par la loi. Et s’il y a un produit actif dans l’emballage, ça doit obligatoirement être un ingrédient alimentaire. Chez nos Toulousains en l’occurrence, c’est de l’extrait de moutarde. Un antimicrobien naturel. On veut surtout éviter les problèmes de contamination, comme avec les bisphénols ou les phtalates, par exemple.
Où les trouve-t-on ces nouveaux films alimentaires ?
Pour l’instant, uniquement chez des professionnels. Ça leur permet d’éviter d’ajouter des conservateurs, donc de garder leurs produits beaucoup plus sains. Mais n’importe qui peut prendre une licence de leur technologie, développer un film alimentaire et le vendre en grande surface. Aujourd’hui, nos Toulousains regardent beaucoup plus loin : ils travaillent, par exemple, sur des emballages qui tuent la salmonelle et la listéria. Vous imaginez ? Demain, ce sera peut-être l’emballage qui garantira une sécurité alimentaire.
Oui, c'est un grand classique : on achète des fruits et des légumes qui finissent par pourrir, parce qu’on ne les a pas consommés assez vite. Avec ce nouvel emballage, ils vont résister deux fois plus longtemps (jusqu’à une semaine de plus). Pourquoi ? Parce que le film libère une substance antimicrobienne qui retarde le pourrissement. C’est une technique développée et brevetée par l’Inra, l'Institut national de la recherche agronomique. Ça vient de la ville Rose, de Toulouse.
C’est quoi ces substances anti-pourrissement, n’y a-t-il pas un risque pour la santé ?
En principe non. Tout ce qui est en contact avec des aliments est strictement encadré par la loi. Et s’il y a un produit actif dans l’emballage, ça doit obligatoirement être un ingrédient alimentaire. Chez nos Toulousains en l’occurrence, c’est de l’extrait de moutarde. Un antimicrobien naturel. On veut surtout éviter les problèmes de contamination, comme avec les bisphénols ou les phtalates, par exemple.
Où les trouve-t-on ces nouveaux films alimentaires ?
Pour l’instant, uniquement chez des professionnels. Ça leur permet d’éviter d’ajouter des conservateurs, donc de garder leurs produits beaucoup plus sains. Mais n’importe qui peut prendre une licence de leur technologie, développer un film alimentaire et le vendre en grande surface. Aujourd’hui, nos Toulousains regardent beaucoup plus loin : ils travaillent, par exemple, sur des emballages qui tuent la salmonelle et la listéria. Vous imaginez ? Demain, ce sera peut-être l’emballage qui garantira une sécurité alimentaire.
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