La startup dijonnaise Novolyze conquiert le marché américain avec sa gamme de germes SurroNov.
La startup dijonnaise Novolyze,
reconnue sur le marché des biotechnologies appliquées à
l’agroalimentaire, lance sa nouvelle gamme de produits SurroNov et
conquiert le marché américain.
Présentée cet été au congrès IAFP North
America, SurroNov est une gamme de germes modèles innovants mimant le
comportement des pathogènes alimentaires. L’idée étant de pouvoir les
utiliser directement en milieu industriel, ces germes modèles
non-pathogènes pourront ainsi valider l’efficacité de débactérisation
des procédés agroalimentaires comme l’extrusion, la pasteurisation, le
séchage, la torréfaction ou encore la cuisson. En d’autres termes, cette
nouvelle gamme de produits permettrait de tester le véritable
équipement, dans son environnement, plus facilement et à moindre coup.
SurroNov, des impacts environnementaux et sociétaux
Du fait de leur non-pathogénicité, les
germes modèles de la gamme SurroNov diminuent ainsi les risques
bactériologiques liés à la manipulation de germes pathogènes du type
Salmonella ou Listeria. Mimant au mieux ce type de germes, ces nouveaux
produits permettent aussi une diminution de la production énergétique
lors des études, tout en préservant les procédés organoleptiques.
« Notre ambition est d’offrir des solutions innovantes à nos partenaires afin de mieux contrôler leurs risques microbiologiques et d’améliorer la sécurité des aliments »
Pierre-Olivier Béal, business development Manager, Novolyse
Novolyze, une startup dijonnaise sur le territoire américain
En 2012, Karim Khinouche et Nicolas Braun ont fondé Novolyze
après avoir tous deux travaillé pour un équipementier industriel. Ils
ont ainsi pu observer que la demande en décontamination des produits
industriels était de plus en plus forte. Après trois à quatre années de
recherches intensives, le duo d’entrepreneur a créé une filiale aux
Etats-Unis.
Source« L’évolution des pratiques de décontamination dans l’industrie de l’agroalimentaire touche beaucoup les américains. On a pu participer à beaucoup de congrès américains et ainsi rencontrer les clients cibles »
Pierre-Olivier Béal, business development Manager, Novolyze.
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