Le Mas numérique illustrera la manière dont le chef d'exploitation utilise
l'agriculture numérique pour gérer son vignoble.
Par ailleurs, une chaire d'entreprises « agriculture numérique », portée par Montpellier SupAgro, Bordeaux Sciences Agro et Irstea sera créée avec 25 entreprises partenaires dès novembre 2016. L'enveloppe allouée est de 300 000 euros sur trois ans. L'objectif est de mettre en place des actions collectives et pré-concurrentielles : séminaires, challenge, études d'opportunités observatoire de l'agriculture numérique, etc. « Nous souhaitons identifier les opportunités, les limites et les points de blocage associés aux nouvelles technologies appliquées à l'agriculture », poursuit Bruno Tisseyre.
l'agriculture numérique pour gérer son vignoble.
Montpellier SupAgro va lancer le Mas numérique en novembre 2016 au domaine viticole du Chapitre à Villeneuve-lès-Maguelone (34). Une vitrine de l'agriculture numérique méditerranéenne
pour expliquer comment celle s'intègre dans le fonctionnement d'une
vraie exploitation. Quatre entreprises, pour l'heure, sont membres du
Mas, sous forme de mécénat.
« Nous allons montrer la manière dont le chef d'exploitation utilise l'agriculture numérique pour gérer son vignoble, tant sur les traitements phytosanitaires que sur la maîtrise de la qualité », explique Bruno Tisseyre, professeur d'agriculture de précision à Montpellier SupAgro. Le budget s'élève à 600 000 euros sur trois ans, dont la moitié est pris en charge par les entreprises. Le site servira aussi à la formation des futurs ingénieurs et des professionnels.
Identifier les opportunités, limites et points de blocage des nouvelles technologies
« Nous allons montrer la manière dont le chef d'exploitation utilise l'agriculture numérique pour gérer son vignoble, tant sur les traitements phytosanitaires que sur la maîtrise de la qualité », explique Bruno Tisseyre, professeur d'agriculture de précision à Montpellier SupAgro. Le budget s'élève à 600 000 euros sur trois ans, dont la moitié est pris en charge par les entreprises. Le site servira aussi à la formation des futurs ingénieurs et des professionnels.
Identifier les opportunités, limites et points de blocage des nouvelles technologies
Par ailleurs, une chaire d'entreprises « agriculture numérique », portée par Montpellier SupAgro, Bordeaux Sciences Agro et Irstea sera créée avec 25 entreprises partenaires dès novembre 2016. L'enveloppe allouée est de 300 000 euros sur trois ans. L'objectif est de mettre en place des actions collectives et pré-concurrentielles : séminaires, challenge, études d'opportunités observatoire de l'agriculture numérique, etc. « Nous souhaitons identifier les opportunités, les limites et les points de blocage associés aux nouvelles technologies appliquées à l'agriculture », poursuit Bruno Tisseyre.
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