Publié le 16.10.2014
Les dépenses prévues pour le secteur agricole coûteront à l’Etat pas moins de 300 milliards de dinars par an durant les cinq prochaines années. C’est ce que le ministère de l’Agriculture et du Développement rural (MADR) a révélé, hier dans un communiqué à l’occasion de la célébration de la Journée mondiale de l’alimentation, décrétée le 16 octobre de chaque année par l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).
Selon le MADR, qui précise que cette enveloppe était jusqu’ici de 200
milliards de dinars/an, le principal des dépenses portera sur le soutien
pour une plus grande mécanisation agricole. Outre le soutien prévu
pour la subvention des produits de base comme le lait et les céréales,
il s’agira particulièrement d’élargir les aides à l’acquisition
d'équipements agricoles «pour répondre aux exigences de l'agriculture et
pallier au manque de main-d'œuvre».
La mécanisation, telle que conçue par le ministère, devra être une mécanisation spécialisée comprenant «les tracteurs, le matériel d’accompagnement, les planteuses, les arracheuses, les pulvérisateurs et les moissonneuses-batteuses». Et de préciser qu’«actuellement, les seuls équipements soutenus par l'Etat sont le matériel d'irrigation destiné à la céréaliculture et le renouvellement des moissonneuses-batteuses obsolètes».
Il sera question également de renforcer l’irrigation d’appoint car c’est le seul moyen de sortir de la dépendance de l’agriculture à la pluviométrie. L'Algérie ambitionne d'atteindre, d'ici à 2019, 2 millions d'hectares irrigués contre 1,1 million actuellement. La superficie céréalière irriguée devra alors être de l'ordre de 600 000 ha contre 200 000 ha actuellement.
La mécanisation, telle que conçue par le ministère, devra être une mécanisation spécialisée comprenant «les tracteurs, le matériel d’accompagnement, les planteuses, les arracheuses, les pulvérisateurs et les moissonneuses-batteuses». Et de préciser qu’«actuellement, les seuls équipements soutenus par l'Etat sont le matériel d'irrigation destiné à la céréaliculture et le renouvellement des moissonneuses-batteuses obsolètes».
Il sera question également de renforcer l’irrigation d’appoint car c’est le seul moyen de sortir de la dépendance de l’agriculture à la pluviométrie. L'Algérie ambitionne d'atteindre, d'ici à 2019, 2 millions d'hectares irrigués contre 1,1 million actuellement. La superficie céréalière irriguée devra alors être de l'ordre de 600 000 ha contre 200 000 ha actuellement.
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