samedi 28 novembre 2015

2015 : probablement l'année la plus chaude jamais enregistrée

Publié le 26/11/2015



La température moyenne à la surface du globe, en 2015, devrait être la plus élevée jamais observée et franchira sans doute le seuil, aussi symbolique que significatif, d'un réchauffement de 1°C par rapport à l'époque préindustrielle. Cette situation résulte des effets conjugués d'un puissant épisode El Niño et du réchauffement climatique causé par les activités humaines, d'après l'Organisation météorologique mondiale (OMM).

A quelques jours de l'ouverture de la 21e Conférence des Nations unies sur les changements climatiques qui se tiendra à Paris du 30 novembre au 11 décembre 2015, l'Organisation météorologique mondiale publie sa déclaration provisoire sur l'état du climat mondial en 2015. Un constat qui devrait inciter nos gouvernants à prendre enfin la mesure du défi qui menace nos civilisations.
« L'état du climat mondial en 2015 fera date pour un certain nombre de raisons », a déclaré le Secrétaire général de l'OMM, Michel Jarraud. « Les concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère ont atteint de nouveaux pics : au printemps boréal 2015, pour la première fois, la teneur de l'atmosphère en CO2 a franchi la barre des 400 parties par million en moyenne mondiale. L'année 2015 sera probablement la plus chaude jamais enregistrée, les températures de surface de la mer atteignant des niveaux sans précédent depuis qu'il existe des observations. La barre des 1 °C de réchauffement sera sans doute franchie », a-t-il ajouté.

« S'ajoute à cela la présence d'un puissant épisode El Niño, qui ne cesse de gagner en intensité. Ce phénomène influe sur les régimes météorologiques dans de nombreuses régions du monde, et explique la chaleur exceptionnelle que nous avons connue en octobre. Il devrait continuer de réchauffer la planète jusqu'en 2016 », a précisé M. Jarraud.

vendredi 27 novembre 2015

Les sols aident à combattre le changement climatique et à s’y adapter

Les sols sont fondamentaux pour la végétation que l’on cultive ou gère pour produire aliments, fibres, combustibles et produits médicinaux
Des sols sains sont essentiels pour assurer une croissance régulière de la végétation – naturelle ou gérée – qui fournit des denrées, des fibres, des combustibles et des produits médicinaux et qui assure des services écosystémiques tels que la régulation du climat et la production d’oxygène.
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60 succès de recherche pour une planète durable

À l’occasion de la COP21, les 28 organismes membres d’AllEnvi publient un recueil de 60 success-stories scientifiques sur l’évolution du climat, les conséquences de son dérèglement et des solutions d’atténuation et d’adaptation. L'ouvrage témoigne de la remarquable mobilisation des chercheurs français pour faire face aux dérèglements climatiques. 

Le dérèglement climatique est bien réel, avec ses cascades d’impacts et l’exigence chaque jour plus vive de proposer des solutions durables. Le rôle de la recherche est ici essentiel : décrire et comprendre les systèmes; développer des technologies; adapter nos organisations et innover; éclairer les sociétés et leur proposer des solutions durables. 

Depuis longtemps déjà, la recherche publique française se mobilise pour mieux comprendre et lutter contre ce changement climatique. Dans la perspective de la COP21, l’alliance AllEnvi, qui regroupe 28 membres issus de la recherche et de l'enseignement supérieur français, publie un ouvrage exceptionnel relatant 60 succès de la recherche pour une planète durable .
 
Cette sélection de résultats emblématiques de la recherche française illustre la mobilisation exceptionnelle des scientifiques français et la mise en commun de leurs expertises transversales et pluridisciplinaires. 

Les 12 membres fondateurs et les 16 membres associés d'AllEnvi représentent une communauté de près de 20 000 scientifiques. Elle couvre l'ensemble des thématiques de la recherche environnementale et est activement engagée dans l'espace européen de la recherche et dans de grandes initiatives internationales.
 
AllEnvi rassemble ainsi une capacité remarquable d'expertise - pluridisciplinaire et systémique - des questions relatives aux changements climatiques, à leurs causes, à leur cascades d'impacts et aux stratégies de lutte.



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Source:  http://www.cirad.fr/actualites/toutes-les-actualites/

 

Revue de presse hebdomadaire de l'INRAA du 22 au 26 novembre 2015



Cliquer sur le lien pour télécharger la revue de presse  relative aux activités du monde agricole nationale en format pdf : https://drive.google.com/file/d/0B31_DDeBbdcnV2ZuVWtRcEtuekU/view?usp=sharing

jeudi 26 novembre 2015

Protection des obtentions végétales

Rapport : Plant variety protection in developing countries : a tool for designing a ‘Sui Generis’ plant variety protection system 

 Ce document est le fruit d’une collaboration entre plusieurs ONG internationales. Il vise à aider les pays en développement à se doter d’un système de Protection des Obtentions Végétales (POV) ‘Sui Generis’, accepté par l’Organisation mondiale du commerce et qui réponde à leur situation et leurs besoins, plutôt que d’adopter la Convention UPOV de 1991 qui constitue un cadre rigide peu adapté aux particularités des pays en développement où la majorité de la population vit de la petite agriculture familiale.

Lire le rapport (94 p.) :

Cliquez ici pour lire l'article



Salah CHOUAKI, Directeur Adjoint à l'INRAA : la recherche reste le parent pauvre du développement agricole

Publié le 26/11/2015



Prenant part, jeudi, à l’émission L’Invité de la rédaction de la chaine 3 de la Radio Algérienne, le chercheur et Directeur Adjoint  de l’Institut national de recherche agronomique, estime que l’Algérie possède les capacités de réaliser son autosuffisance au plan alimentaire, mais non pas d’être exportatrice. Pour appuyer ses propos, M. Salah Chouaki met en avant certaines contraintes objectives, dont celle relative au climat, mais aussi, aux insuffisances latentes en matière de travaux de recherche, le pays ne disposant actuellement que de 160 chercheurs agronomes dotés, par ailleurs, de faibles moyens matériels. Il estime que le pays possède des potentialités pour produire pour ses propres besoins, mais à la condition, toutefois, d'axer ses efforts sur la valorisation de son patrimoine génétique, végétal et animal. A cet effet, il propose de créer un Comité mixte de réflexion réunissant des chercheurs et des producteurs « afin d’amener les secteurs agricole, industriel et la recherche à agir en commun ». De la politique de renouveau rural mise en œuvre depuis plusieurs années déjà, l’intervenant considère que par certains de ses aspects, « elle laisse à désirer ». Pour qu’elle réussisse pleinement, il estime fondamental d’y associer les populations ciblées et de les accompagner dans la mise en œuvre des projets initiés à leur intention.   D’un autre coté, le représentant de l’INRA tient à signaler que de sérieux efforts restent, en outre, à entreprendre pour développer la production de semences en Algérie, le pays restant dépendant pour 90% de l’importation pour ses besoins. « Nous possédons un réservoir de semences adaptées qui ne demande qu’à être valorisé et développé », assure-t-il.  


 

Cop21 et agriculture: Dix pistes pour réduire l'empreinte carbone sur votre exploitation

jeudi 26 novembre 2015 à 06:03 • Terre-net Média 

  (©Terre-net Média)

A l’approche de la Cop21, la Conférence mondiale sur le climat organisée du 30 novembre au 11 décembre 2015 au Bourget, Terre-net.fr s'est penché tout au long du mois de novembre sur les marges de manœuvre existantes pour réduire l’empreinte carbone des exploitations agricoles. Développées à grande échelle, ces dix pistes mises en avant par les Chambres d'agriculture permettraient de réduire de 20 % les émissions de gaz à effet de serre du secteur agricole à l'horizon 2030, conformément aux engagements de la France et de l'Union européenne.

Comment réduire les émissions de gaz à effet de serre sur son exploitation ? Comment limiter l’empreinte carbone de sa ferme ? A l'approche de la Cop21, l’Ademe et l’Inra ont recensé dix actions ou domaines, repris par l’APCA dans sa communication "C’est bon pour le climat"(*), pouvant diminuer les rejets de près de 19 Mt éqCO2/an à l’horizon 2030.


Les dix possibilités pour réduire l'empreinte carbone de son exploitation :
Avec 5,8 Mt éqCO2 d’économies annuelles potentielles, le développement massif de la méthanisation est le principal levier du secteur agricole. Mais, c’est une activité de diversification à part entière qui nécessite du temps et de l’argent, témoignent les producteurs ayant monté une installation. La méthanisation offrirait néanmoins un deuxième avantage d’ici 2030 : une économie annuelle d’énergie de 6 Mt équivalent pétrole. Un méthaniseur au sein d’un atelier laitier de 150 vaches, utilisant par ailleurs des résidus ou cultures intercalaires, peut répondre à la consommation énergétique de 200 ménages.

Performance technique rime avec performance économique

 

La fertilisation équilibrée des cultures et prairies constitue le deuxième moyen d’action à développer. L’Inra estime à 2,6 Mt éqCO2 la baisse possible des émissions de gaz à effet de serre si la fertilisation équilibrée se généralisait sur 11,7 Mha d’ici 15 ans. Selon l’institut, un pilotage plus précis apporterait par ailleurs des gains de 20 à 40 €/ha/an.
Dans les élevages, une meilleure valorisation des prairies permettrait une réduction équivalente des Ges. 2,5 Mt éqCO2 par an pourraient être ainsi économisées grâce à une "gestion optimisée". Allonger la durée des prairies temporaires, par exemple, ferait gagner 620 kg éqCO2/ha/an et surtout baisserait les charges de 100 à 120 €/ha. En augmentant la durée de pâturage d’une vingtaine de jours, ce serait 50 kg éqCO2/ha/an en moins.
Défendu au nom d’une plus grande autonomie en protéines, le retour en masse des légumineuses dans les assolements représenterait un potentiel de 1,4 Mt éqCO2. Mais il faudrait les implanter non pas sur 500 000 ha à peine comme aujourd’hui, mais sur 3,2 Mha, soit l’équivalent de la surface couverte en 1960 !.



 

 

mercredi 25 novembre 2015

complément d'information: le résultat étonnant d'une étude sur la disparition des abeilles


Une nouvelle étude de l'INRA (Institut national de recherche agronomique) confirme bien que les "néonicotinoïdes" (une famille d'insecticides neurotoxiques) altèrent le sens de l'orientation des "butineuses" et les empêchent de retrouver le chemin de la ruche. Mais, plus étonnant, elle montre que la colonie s'adapte à cette surmortalité en privilégiant le renouvellement des "ouvrières". 

C'est un sujet capital pour l'agriculture mondiale que vient éclairer une nouvelle étude de l'Inra (Institut national de recherche agronomique) : celui de la disparition des abeilles, les "pollinisateurs" de la planète. Depuis des années, les apiculteurs sont confrontés à une mortalité qui s'accélère dans leurs ruches. Ils ont notamment mis en cause des insecticides qui altèrent le sens de l'orientation des "butineuses" et les empêchent de retrouver le chemin de la ruche.

Une seconde étude menée en plein champ

Menée il y a deux ans, une première étude de l'INRA a permis de confirmer, ce qui n'était alors qu'une hypothèse. En contact avec des plantes traitées par des "néonicotinoïdes" (un insecticide qui s'introduit dans la plante et la rend toxique) les abeilles se retrouvent bien désorientées. Leur déclin peut ainsi s'expliquer, non pas par toxicité directe des insecticides, mais par la perturbation de leur orientation et de leur capacité à retrouver la ruche.
Une seconde étude vient d'être publiée sur ce sujet. Elle porte sur une population d'abeille de plus grande ampleur et surtout elle sort du laboratoire pour le "plein champ". Une étude qui conforte les essais en laboratoire sur les risques de désorientation des abeilles exposées au traitement des semences de colza au thiaméthoxame, un insecticide issu de la famille des néonicotinoïdes. Mais qui montre aussi autre chose plus inattendu : la colonie soumise à ce "stress" adapte sa stratégie.
L’étude révèle en effet que la proximité des parcelles traitées diminue l’espérance de vie des butineuses. Mais en réponse à cette surmortalité, les colonies modifient leur stratégie de production de couvain (les mâles), de façon à privilégier le renouvèlement des ouvrières. Ce qui soulève de nouvelles pistes de recherches pour l’évaluation des risques toxicologiques sur le terrain.

mardi 24 novembre 2015

Lancement de la certification des vitroplants du palmier dattier au Maroc

 Publié le 23/11/2015





Le palmier dattier occupe une place importante dans l’agriculture marocaine et contribue à la préservation de l’écosystème oasien menacé par la désertification. Cette filiére a connu une importante régression depuis le début du 20ème siècle causé notamment par le cataclysme de la maladie du “Bayoud” et qui a dévasté pas moins des deux tiers de la palmeraie marocaine, et notamment les variétés à haute valeur commerciale comme le Mejhoul, Boufegouss.


Afin de faire face à cette situation de crise, l’Institut Marocain National de la Recherche Agronomique du Maroc a consenti, durant les 30 dernières années, des efforts importants en matière de recherche qui ont abouti, à travers la culture in vitro à sélectionner de nouvelles variétés productives et résistantes au “bayoud” et obtenir des vitroplants indemnes à partir de variétés menacées par la disparition.

C’est dans ce cadre que le Plan Maroc Vert a mis en place, depuis 2009, une stratégie de développement du secteur du palmier dattier basée, entre autres, sur la production, à l’horizon 2020,  de 3 millions de vitroplants destinés à la  réhabilitation et la reconstitution des palmeraies existantes sur une superficie de 48 000 ha et l’extension des plantations du palmier dattier, à l’extérieur des palmeraies,  sur une superficie de 17 000 ha.


Aussi et afin de garantir un bon état sanitaire et une authenticité variétale des vitroplants de palmier dattier produits, un code de procédure, définissant le système de traçabilité pour la certification des vitro plants, a été établi en 2011 par l’Office National de Sécurité Sanitaire des Produits Alimentaires (ONSSA) en concertation avec l’INRA Maroc et les laboratoires privés agissant dans ce domaine.  Ce système de traçabilité est basé sur le principe de la filiation qui consiste à contrôler tout le processus de multiplication allant du choix des pieds-mères sur lesquels se font les prélèvements des rejets à la livraison des vitroplants aux agriculteurs.

Les abeilles sont bien désorientées et meurent à cause des insecticides néonicotinoïdes

Publié le 23/11/2015



Une nouvelle étude menée en plein champ par l'Institut national de la recherche agronomique (INRA) confirme que les risques des désorientation des abeilles exposées aux insecticides néonicotinoïdes. En outre, l'étude révèle que la proximité des parcelles traitées diminue l'espérance de vie des butineuses. Cependant, les colonies ont été capables de s'adapter à cette surmortalité en modifiant leur stratégie de production de couvain de façon à privilégier le renouvellement des ouvrières.

Alors que les colonies d'abeilles souffrent toujours de surmortalité et qu'il devient de plus en plus difficile de trouver du miel français dans les rayons, des chercheurs de l'INRA ont voulu vérifier, sur le terrain, les conditions d'exposition des abeilles aux effets toxiques d'un insecticide controversé de la famille des néonicotinoïdes, le thiaméthoxam. Cet insecticide est fabriqué par Syngenta sous la marque Cruiser pour lutter contre les taupins, oscinies, pucerons, cicadelles, thrips et sitones en protection du maïs, du colza, des pois et des betteraves notamment par enrobage des semences.
Déjà, en 2012, une équipe de scientifiques français de l'INRA mettait en évidence, en grandeur nature que le taux de non-retours à la ruche des abeilles intoxiquées était deux à trois fois supérieur à la normale : "Ce taux serait suffisant pour déséquilibrer une colonie, voire même la conduire à l'effondrement".
Malgré ces résultats inquiétants, cette gamme d'insecticide est toujours en grande partie autorisée et donc commercialisée[1]. Une nouvelle étude apporte des éléments scientifiques qui confirment la nécessité d'une réévaluation du risque par les agences sanitaires.
Les chercheurs de l'INRA ont équipé 7000 abeilles de micropuces RFID permettant de surveiller leur entrée/sortie de la ruche. Les abeilles pouvaient butiner dans un territoire agricole de 200 km² comprenant quelques parcelles de colza dont les semences étaient traitées à l'insecticide de la famille des néonicotinoïdes, le thiaméthoxame.

Les résultats montrent que le risque de mortalité des abeilles augmente selon l'exposition des ruches. Ce gradient d'exposition est fonction à la fois de la taille des parcelles et de leur distance à la ruche. L'effet de l'exposition s'accroit progressivement au cours de l'avancement de la floraison du colza allant d'un risque moyen de mortalité de 5 à 22%.
Cependant, les chercheurs n'ont pas observé d'altération des performances des ruches exposées : les quantités de miel produites restent les mêmes. Ceci s'expliquerait par l'adaptation démographique de la colonie à la surmortalité : "les colonies étudiées ont conservé des effectifs d'ouvrières et de butineuses suffisants pour maintenir la dynamique de production du miel. Ainsi, un rééquilibrage entre la taille du couvain mâle et celui des ouvrières apparaitrait pendant la floraison et dans les semaines qui suivent." indique l'INRA.
De plus, les scientifiques ont découvert des traces d'imidaclopride, une autre substance néonicotinoïde pourtant restreinte au traitement des semences des cultures non butinées, dans la plupart des échantillons de nectar prélevé dans des fleurs de colza, ainsi que dans le nectar collecté par les abeilles butineuses. Si l'étude initiale visait à cibler les effets de la seule molécule de thiaméthoxame, cette "co-exposition complique davantage l'évaluation du risque en plein champ, car il n'a pas été possible de distinguer l'impact individuel de l'une ou l'autre molécule sur les abeilles." explique l'INRA.

Au final, cette étude souligne la difficulté d'évaluer précisément les risques encourus par les abeilles en situation réelle d'exposition aux traitements phytosanitaires. "Ces risques sont mesurables à large échelle spatiale et se traduisent sur les ruches par des effets biologiques retardés." conclut l'INRA.

Une nouvelle fois, les auteurs de l'étude insistent sur la nécessité de mieux évaluer les effets chroniques de faibles doses de pesticides ainsi que les "effets coktails" inattendus lorsque les différentes substances actives des pesticides se cumulent. Des risques qui "ne sont pas à ce jour pris en compte par les autorités sanitaires", ces mêmes agences qui sont chargées d'autoriser la mise sur le marché des pesticides...

Rappelons qu'en 2012, l'Agence sanitaire pour l'alimentation et l'environnement (ANSES) tenait compte dans son avis de l'effet "d'une dose sublétale de thiaméthoxam sur le retour à la ruche des abeilles butineuses" mais concluait "de poursuivre les expérimentations sur la base de la technologie RFID en faisant varier les niveaux d'exposition pour se rapprocher davantage des doses auxquelles les abeilles sont communément exposées, et en approfondissant les conséquences des effets observés individuellement sur la dynamique de la colonie d'abeilles." C'est fait !

Source:
http://www.notre-planete.info/actualites/4380-insecticide-n%C3%A9onicotino%C3%AFde-surmortalite-abeilles


 
23 novembre 2015

 Source : notre-planete.info, http://www.notre-planete.info/actualites/4380-insecticide-n%C3%A9onicotino%C3%AFde-surmortalite-abeilles