jeudi 30 octobre 2014

ذكرى اندلاع ثورة الفاتح نوفمبر



بمناسبة الذكرى الستون لاندلاع الثورة التحريرية الكبرى نتقدم باحر التهاني الى كل الشعب الجزائري

وإلى كل الزملاء بصفة خاصة





Revue de presse hebdomadaire de l'INRAA du 26 au 30 octobre 2014


Veuillez trouve ci-joint la revue de presse hebdomadaire du 26 au 30 octobre 2014 relative aux activités du secteur agricole national. Bonne lecture





 Télécharger la revue de presse en version pdf : 
https://drive.google.com/file/d/0B31_DDeBbdcnMHlvcEEtck9WS00/view?usp=sharing

Spéculation sur la pomme de terre: L'UNA alerte les pouvoirs publics

 Publié le 29/10/2014

L'Union nationale des agronomes (UNA) a alerté hier à Alger les pouvoirs publics sur les spéculations sur la pomme de terre dont le prix a dépassé les 100 DA/kg au niveau des marchés de détail.


«Les autorités concernées doivent prendre de sérieuses décisions pour mettre fin à cette crise récurrente de la hausse des prix des produits agricoles, notamment la pomme de terre», a indiqué le secrétaire général de cette union, M. Yahia Kerrouche.
Invité au forum de «DK News» pour débattre de la problématique de la hausse sensible du prix de la pomme de terre, l'aliment de base des citoyens, M. Kerrouche a fait savoir que la spéculation est responsable de plus de 50% de cette situation.
«Le ministère du Commerce avait annoncé l'ouverture prochaine de plusieurs marchés de gros pour pallier cette crise, mais cette mesure est insuffisante», a-t-il estimé, ajoutant : «Il faut absolument qu'il y ait  des contrôles rigoureux, journaliers et un bon encadrement des marchés pour arriver à stabiliser les prix des fruits et légumes». Pour lui, l'agriculteur n'est pas responsable de la hausse des prix.
«Souvent, les artisans sont mis à l'index, alors qu'à leur niveau, la pomme de terre n'est pas vendue à plus de 35 DA», a-t-il affirmé. M. Kerrouche a appelé les principaux acteurs du secteur de l'agriculture à réfléchir à une solution efficace et continue pour régler définitivement la spéculation sur des prix de produits agricoles.
«Un budget de 300 milliards de dollars est consacré pour réhabiliter le secteur de l'agriculture, mais comment cela va-t-il se faire», s'est-il interrogé, ajoutant : «Depuis des années, des efforts sont déployés et des budgets sont consommés pour remettre à niveau l'agriculture, mais le problème est toujours là», s'est-il alarmé.
Le conférencier a déploré le fait que la production nationale de pomme de terre soit «très» faible par rapport à la demande.
«Nous produisons entre 1.5 million et 2 millions de pomme de terre par an, ce qui ne peut pas répondre aux besoins des citoyens», a-t-dit, expliquant cet état de fait par le climat peu propice à la bonne production de pomme de terre.
«Nous souffrons souvent de sécheresse, ce qui paralyse l'activité», a-t-il fait savoir. Le SG de l'UNA a aussi abordé la problématique des semences.
«Jusqu'à quand l'Algérie va-t-elle dépendre des semences étrangères pour assurer l'alimentation de son peuple ?», s'est-il interrogé.
«Les besoins en semences de pomme de terre s'élèvent à 200 000 tonnes/an, mais la production nationale n'en assure que 50%», a-t-il ajouté. L'UNA a dénoncé l'absence de contrôle sur la semence utilisée par certains agriculteurs.
«Ils utilisent des semences non certifiées et récoltent par la suite une pomme de terre non stockable et de mauvaise qualité», a-t-il dénoncé.
A cet effet, M. Kerrouche lance un appel aux autorités pour combler les lacunes de son secteur qui ne cessent de s'accroître. Il préconise de redynamiser les partenariats en cours et de gagner de l'espace pour la production nationale.
«Nous disposons de grandes surfaces agricoles qui ne sont pas exploitées convenablement», a-t-il estimé. Une mise en valeur de ce secteur s'impose, selon lui, en sollicitant des experts en la matière.
«L'Algérie produit chaque année un nombre important de cadres et d'ingénieurs en agronomie qui se trouvent obligés parfois de changer de filière parce qu’ils ne sont pas sollicités», a-t-il conclu.

Article de presse:  http://www.letempsdz.com/content/view/134610/1/
F. A.

mercredi 29 octobre 2014

Pour faire pousser du maïs, l'INRA France transforme les poubelles en engrais

Rédigé le 27 Octobre 2014


Un programme de recherche explore depuis 13 ans la possibilité de remplacer les engrais chimiques par nos déchets urbains. Les premiers résultats sont concluants, avec des rendements plus importants et une meilleure qualité des sols. 

Et si demain les fruits et légumes que nous mangeons poussaient grâce à nos déchets ? C'est le scénario imaginé par l'Inra (Institut National de la Recherche agronomique) et Veolia. Depuis 1997, le programme de recherche QualiAgro s'attache à déterminer s'il est possible de remplacer les engrais minéraux (produits par synthèse chimique) par les ordures générées par nos villes.

L'intérêt d'une telle solution ? Sa faible empreinte écologique. La production d'engrais minéraux, à l'inverse, est très énergivore : en 2006, une étude de Massachusetts Institute of Technologie révélait qu'1 % de l'énergie mondiale était utilisée pour produire de l'ammoniac, élément nécessaire pour fabriquer l'azote qui compose les engrais. De plus, les engrais minéraux utilisent des phosphates dont les stocks mondiaux seront épuisés d'ici 100 à 300 ans, estime une une étude de 2011.

Une alternative aux engrais traditionels

Voilà 13 ans que l'Inra teste ses engrais nouvelles génération sur un champ de six hectares de blé et de maïs de Feucherolles, dans les Yvelines. Chacune des 40 parcelles s'est vu attribuer soit un mélange chimique, soit un mélange alternatif à base de déchets : boue d'épuration, déchets organiques et ordure ménagère résiduelles triées en amont. Les rendements, la qualité de la production, des sols et de l’eau ont ensuite été soigneusement mesurés et comparés.

Résultat ? Le 3 octobre dernier, l'Inra France a conclu que cette technique présentait « un intérêt agronomique indéniable » : les rendements de maïs ont augmenté de 5 % dans les parcelles arrosées de boue d'épuration par rapport à celles arrosées par des produits chimiques. En revanche, le rendement des champs de blé a été plus faible.

Un maïs et des sols sains

L'idée de manger du maïs arrosé par nos déchets ne vous met pas l'eau à la bouche ? L'étude montre pourtant qu'il n'y a pas de raison de s'inquiéter. Les chercheurs n'ont pas noté de multiplication de population bactérienne ou de contaminants organiques (pollution chimique provoquée par la matière organique). Même si les boues sont riches en micro-polluants métalliques, comme le zinc et le cuivre, ceux-ci ne passent pas dans les grains, qui sont désormais vendus et consommés. Les chercheurs ont par ailleurs conclu que cet engrais alternatif respectait les taux de plastique autorisés dans les compostes.


Si le maïs n'est pas affecté, les sols non plus. Mieux, les chercheurs se sont aperçus que la matière organique qu'ils contenaient était 30 à 50 % plus importante que celles contenue par les parcelles soumises aux engrais minéraux. La présence de lombrics y est notamment supérieure.

Expérimentations jusqu'en 2020

En plus remplacer les engrais minéraux, l'opération valorise une partie de nos déchets, tout en optimisant la production agricole, explique Sabine Houot, directrice de recherche à l'Inra. « Cela permet de recycler de la matière et de limiter la fabrication d'engrais. » Cependant la technique ne permettrait pas de remplacer complètement les engrais minéraux : même en recyclant tous les biodéchets et les boues d’épuration disponibles sur la plaine de Versailles, là où se déroule l’expérimentation, « on ne couvrirait que 15 % des besoins d’azote de toutes les cultures » locales.

Plusieurs questions restent par ailleurs en suspens. Qu'en est-il des résidus pharmaceutiques (traces de médicaments dans les eaux usées) ? Et des émissions de gaz à effet de serre, qui n'ont pas encore été mesurées ? L'étude prévoit de continuer les expérimentations jusqu'en 2020.

Source:  http://www.wedemain.fr/Pour-faire-pousser-du-mais-l-INRA-transforme-nos-poubelles-en-engrais_a707.html

 

The 5th International Symposium for Farming Systems Design



The 5th International Symposium for
Farming Systems Design


“Multi-functional farming systems in a changing world”
Le Corum conference center, Montpellier, France


Cet événement est co-organisé par Agropolis International et la Société Européenne d'Agronomie. Appel à communications : date limite le 15 décembre 2014


Site web de l'èvennement:  http://fsd5.sciencesconf.org/

Ouverture de l’appel à projets joint transnational ARIMNET 2 (2014- 2015)

Ouverture de l’appel à projets joint transnational ARIMNET 2 (2014- 2015)/Coordination of Agricultural Research in the Mediterranean Area

L’objectif du programme ARIMNET 2 est de promouvoir les synergies et de favoriser les coopérations entre pays méditerranéens dans le domaine de la recherche agronomique.
Cet appel conjoint transnational concerne les thématiques suivantes :

1. Les systèmes de production et leurs composantes : Développer une production agricole durable dans des conditions de milieu naturel sous fortes contraintes écologiques et climatiques
2. Les filières agroalimentaires de la production à la commercialisation : Valoriser les atouts spécifiques de l’agriculture méditerranéenne en développant des produits à forte valeur ajoutée
3. Espaces, ressources et territoires : Gestion durable des usages agricoles et environnementaux.

Le projet ARIMNET 2 est un réseau d’agences de financement et d’organismes de recherche nationaux et internationaux chargés de promouvoir la coordination d’activités de recherche et d’identifier des programmes de recherche communs dans la zone méditerranéenne.

Le projet est coordonné au niveau français par l’Inra.

Les consortiums doivent inclure des chercheurs d’au moins trois pays membres du projet ARIMNet2 (dont au moins un pays membre de l’Union européenne et un pays non membre de l’Union européenne).
Les pays suivants participeront à l'appel à projets :
Algérie, Egypte, Espagne, France, Grèce, Italie, Malte, Portugal, Tunisie, Turquie, la Croatie, Israël, le Maroc et la Slovénie.

En savoir plus sur le programme ARIMNET 2 >>

Envoi des pré-propositions avant le 1er décembre 2014

lundi 27 octobre 2014

Cours Approfondi VACCINS EN PRODUCTION ANIMALE : CONCEPTS, DÉVELOPPEMENTS, RÉGLEMENTATION ET APPLICATIONS


   

Madame, Monsieur,

Pour votre information, voici le lien à la publicité :

Cours Approfondi

VACCINS EN PRODUCTION ANIMALE : CONCEPTS, DÉVELOPPEMENTS, RÉGLEMENTATION ET APPLICATIONS

Zaragoza (Espagne), 19-23 janvier 2015
 
  
Les dossiers devront être envoyés avant le 3 novembre 2014.

 
Meilleures salutations.



L'adresse de contact par e-mail est iamz@iamz.ciheam.org
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Tous les e-mails envoyés à iamz-publicidad@iamz.ciheam.org sont automatiquement éliminés.

Cahiers Agricultures

Les Cahiers Agricultures sont une tribune interdisciplinaire sur les recherches agronomiques et le développement rural.
Ils s’adressent à tous ceux, chercheurs, hommes de terrain, enseignants qui veulent mener une réflexion plus globale sur le monde agricole dans la francophonie.
Les Cahiers Agricultures sont un outil d’échanges portant sur tous les aspects des productions végétales, de l’élevage, des filières de transformation agro-alimentaires, de la vie rurale et de la protection de l’environnement.
La revue Cahiers Agricultures libère l’accès Internet aux articles publiés dans la revue depuis le Volume 1. Tous les articles sont accessibles gratuitement, sans frais de publication pour les auteurs.

Le facteur d'impact 2013 de la revue est de 0,390

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