dimanche 16 octobre 2016

International Association for Plant Biotechnology Congress (IAPB 2018)

It is a great honour for me to have been chosen as the President of the organisation (2015 to 2018) at the IAPB congress in Melbourne in 2014. The newly appointed Executive and myself are delighted to have been given the opportunity to manage the IAPB virtual office over the next four years and to host the 14th International Association Congress in Dublin in 2018 (August 19th to 24th).

The International Botanical Congress (IBC)



                            http://www.ibc2017.cn/images/home_eco_sliderbg.jpg


The International Parasitic Plant Society (IPPS)

IPPS

Welcome to the International Parasitic Plant Society (IPPS) homepage. IPPS is dedicated to advancing scientific research on parasitic plants. Our goals include increasing understanding of these amazing plants as well as helping to decrease the crop damage inflicted by weedy parasitic plants.
We are pleased to announce the 14th World Congress on Parasitic Plants will be held from June 25-30, 2017 at the historic Asilomar Conference Grounds in Pacific Grove California, USA.

Click on the link to download the flyer announcing the congress (WCPP14_flyer.pdf).
Please go to http://www.wcpp14.org/ for more details.

John Yoder, Local Organizing Chair
Site web:  http://www.parasiticplants.org/

Congrès international de pathologie végétale (ICPP) 2018: la santé des plantes dans une économie mondiale

International Congress of Plant Pathology (ICPP) 2018: Plant Health in A Global Economy

Leading experts from around the world will present the latest advances and innovations, celebrate progress, and set a vision for assuring plant health in a global economy. The vision of the Congress – An engaged world community of plant health scientists advancing knowledge for a safe, affordable, secure supply of food, feed, and fiber for a growing population – reflects the broad and unique position plant pathology holds within the international community of scientists.

Cahiers Agricultures - Dernier numéro

Rédacteur en chef :
Jean-Yves Jamin
Rédactrice en chef déléguée : Christine Rawski

Comité de rédaction
Facteur d'impact 2015 : 0,384
Facteur d'impact à 5 ans : 0,494

ISSN : 1166-7699
e-ISSN : 1777-5949
Publié par : EDP Sciences

Revue en Open access
© Cirad
 
Cahiers Agricultures est une revue scientifique, principalement francophone, sur les agricultures du monde, leur fonctionnement, leur évolution et leur place dans les sociétés. Elle s’adresse à tous ceux – chercheurs, agents de terrain, enseignants – qu’intéresse une réflexion d’ensemble sur le monde agricole et son avenir.


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L’intérêt du "non labour" confirmée

La compilation de 62 études scientifiques comparant les pratiques de travail des sols agricoles dans le monde conclut à un avantage agronomique certain du "non labour". Les enjeux climatiques devraient accélérer l’abandon de la charrue.

CHARRUE. Les chercheurs du collège d’agriculture de l’Université d’Illinois ont voulu en avoir le cœur net. Est-ce que les comparaisons entre méthodes de labours faites dans les fermes du Midwest sont aussi valables pour le reste du monde ? Les Etats-Unis sont en effet en train de se passer à grande vitesse du labour. Aujourd’hui, 1/3 des exploitations ne passent plus la charrue dans les champs. Outre les évidentes économies en fuel et en matériel, la technique s’est avérée extrêmement rentable. « Aider le sol à remplir ses fonctions permet de mieux faire pousser les récoltes tout en maintenant une haute qualité remplissant des buts écologiques, assure Stacy Zuber, principale auteure de l’article paru dans Soil biology and biochemistry. Dans l’Illinois, nous avons des sols très fertiles qui sont notre principale richesse. Les fermiers peuvent la protéger en s’assurant que la communauté microbienne est en bonne santé ».

Phytothérapie : Quand les plantes médicinales et aromatiques font parler la nature

La phytothérapie requiert une maîtrise parfaite des composés chimiques que les plantes médicinales et aromatiques renferment. Aujourd’hui tombée dans les reliques d’un savoir-faire ancestral, cette médecine fondée sur les principes actifs naturels tend à être remise au goût du jour. Détails.

...Suite : http://www.yabiladi.com/articles/details/47761/phytotherapie-quand-plantes-medicinales-aromatiques.html

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La phytothérapie requiert une maîtrise parfaite des composés chimiques que les plantes médicinales et aromatiques renferment. Aujourd’hui tombée dans les reliques d’un savoir-faire ancestral, cette médecine fondée sur les principes actifs naturels tend à être remise au goût du jour. Détails.  


...Suite : http://www.yabiladi.com/articles/details/47761/phytotherapie-quand-plantes-medicinales-aromatiques.html
La phytothérapie requiert une maîtrise parfaite des composés chimiques que les plantes médicinales et aromatiques renferment. Aujourd’hui tombée dans les reliques d’un savoir-faire ancestral, cette médecine fondée sur les principes actifs naturels tend à être remise au goût du jour. Détails.  
 
Soulager ses ballonnements intestinaux à coups d’infusions à l’origan ? Ses migraines qui frappent la boîte crânienne comme un marteau à grand renfort de camomille ? Aux esprits cartésiens, l’idée doit sembler saugrenue. Aux autres, elle apparaît comme une alternative à la médecine conventionnelle occidentale. Prisée par les revues spécialisées, les ouvrages consacrés au bien-être et aux techniques de guérison dites « douces » qui pullulent sur les rayons des librairies et de leurs concurrentes d’enseignes grand public, la phytothérapie est devenue un phénomène bien rodé. Plus encore, certains ne jurent que par elle.
Bien sûr, personne n’ira jusqu’à prétendre que les plantes aromatiques et médicinales jouent dans la Cour des miracles. « Ce sont surtout pour des désagréments du quotidien, des maladies bénignes, explique Chaouki Al Faiz, directeur de recherche à l’Institut national de recherche agronomique. Des maux de tête, de ventre, des démangeaisons, des nausées… Evidemment, on ne va pas soigner un cancer avec. » On s’en doutait.
Dans quelle mesure peuvent-elles être une alternative à la médecine telle qu’on la pratique habituellement ? « Ça dépend de plusieurs facteurs, notamment de ce qu’on veut soigner et de comment on va le soigner. Quand on parle d’une espèce donnée, cela ne signifie pas que la plante contient le même ingrédient partout », poursuit Chaouki Al Faiz.
400 espèces au Maroc
Car le monde merveilleux du végétal répond lui aussi aux lois naturelles. « Il y a une grande variabilité chimique. Une plante récoltée dans telle région ne présentera pas les mêmes composés qu’une autre qui a été cultivée ailleurs, même s’il s’agit de la même. Après analyse, on se rend compte que deux espèces similaires n’ont pas le même profil chimique en fonction de l’endroit où elles sont produites. On peut trouver une vingtaine de composés chimiques au total. Lorsqu’ils sont majoritairement présents dans une plante, cette dernière possède alors une vertu qui lui est propre. »
A chaque vertu sa fleur ; à chaque fleur sa traçabilité. Certains composés chimiques, loin d’être inoffensifs, sont à proscrire aux enfants ou aux femmes enceintes. « D’où l’importance d’effectuer un suivi pointu sur toute la chaîne de valeur, de la production de la matière première jusqu’à sa commercialisation. La culture doit être parfaitement maîtrisée », insiste le chercheur. Au Maroc, les plantes médicinales et aromatiques se comptent par centaines. Certains spécialistes en dénombrent même jusqu’à 400, dont une centaine est commercialisée à grande échelle.
La bonne réputation de cette médecine traditionnelle, ainsi qu’elle est considérée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), doit beaucoup à l’interaction qui s’exerce entre l’espèce humaine et la nature. L’homme a appris à apprivoiser puis utiliser les plantes ; celles-ci le lui ont bien rendu. « Elles restent un moyen de traitement efficace car elles ont co-évolué avec nous. C’est pour ça qu’un même médicament ne peut pas convenir à tout le monde. Les plantes qu’on trouve en Amérique du Nord, par exemple, ne vont pas forcément correspondre à nos populations, et inversement », analyse le chercheur.
Un concept qui gagnerait à être modernisé
A chaque population sa plante ; à chaque plante son conseil. Sauf qu’au savoir-faire traditionnel - « aujourd’hui disparu » - perpétué de génération en génération, s’est substitué un « esprit de commerce, au détriment d’un esprit de guérisseur », déplore Chaouki Al Faiz. Celui-ci de remettre en doute les compétences affichées par certains professionnels : « On voit ressurgir des ‘pseudos-herboristes’ qui ne disposent pas d’une vraie formation et, par conséquent, ne sont pas habilités à donner les bons conseils ».
Quand ce ne sont pas les amateurs qui lèsent la phytothérapie, ce sont les industries pharmaceutiques qui prennent volontiers le relais. Sur le tableau, c’est David contre Goliath ; un rapport de force même pas comparable. « Le problème, c’est qu’on n’a pas cherché à moderniser le concept d’herboriste. En Chine, ces boutiques sont comme des pharmacies. Les gens s’y rendent avec des ordonnances, c’est entré dans les habitudes. Au Maroc, il faut organiser ces secteurs, les réglementer, prévoir des sessions de formation. C’est seulement à partir de ce moment là que cette médecine aura sa place face à la médecine moderne. »


...Suite : http://www.yabiladi.com/articles/details/47761/phytotherapie-quand-plantes-medicinales-aromatiques.html
Soulager ses ballonnements intestinaux à coups d’infusions à l’origan ? Ses migraines qui frappent la boîte crânienne comme un marteau à grand renfort de camomille ? Aux esprits cartésiens, l’idée doit sembler saugrenue. Aux autres, elle apparaît comme une alternative à la médecine conventionnelle occidentale. Prisée par les revues spécialisées, les ouvrages consacrés au bien-être et aux techniques de guérison dites « douces » qui pullulent sur les rayons des librairies et de leurs concurrentes d’enseignes grand public, la phytothérapie est devenue un phénomène bien rodé. Plus encore, certains ne jurent que par elle.

Bien sûr, personne n’ira jusqu’à prétendre que les plantes aromatiques et médicinales jouent dans la Cour des miracles. « Ce sont surtout pour des désagréments du quotidien, des maladies bénignes, explique Chaouki Al Faiz, directeur de recherche à l’Institut national de recherche agronomique. Des maux de tête, de ventre, des démangeaisons, des nausées… Evidemment, on ne va pas soigner un cancer avec. » On s’en doutait.