samedi 10 janvier 2015

5éme édition du salon international de la Pomme de Terre- BATATIS MOSTA 2015

HM Communication et la revue Green Algérie organisent la 5éme édition du salon international de la Pomme de Terre « BatatisMosta2015 » le 04- 05 & 06 Mai 2015 à Douar Menasria Ain Tadles – W. Mostaganem- Algérie dans une zone de production agricole sur un site de 5 hectares dont une grande partie est destinée aux démonstrations variétales et du machinisme.
Toute la chaine de la pomme de terre sera présente ; des conférences sur la filière pomme de terre sont prévues au programme.
Les agriculteurs et opérateurs seront au cœur de la zone de production agricole dans un événement reconnu comme 2éme de ce genre dans le monde après europe-potato.

Une viande artificielle créée en laboratoire

Par La rédaction d'Allodocteurs.fr
rédigé le 8 janvier 2015, mis à jour le 9 janvier 2015

 Nous sommes 97% de carnivores dans le monde. Des carnivores qui consomment en moyenne 42 kilos de viande par an et par habitant. Et avec la nouvelle appétence des pays émergents, la demande va encore augmenter ces prochaines années. Pour répondre aux besoins, l'élevage industriel reste le mode de production majeur mais cet élevage pose quelques problèmes. Alors pour faire face à une demande toujours plus grande, Mark Post, un chercheur hollandais, a eu une idée. Il est le premier scientifique à avoir créé un steak haché in vitro, c'est-à-dire élaboré en laboratoire.


Séminaire agroécologie Montpellier : Protection agroécologique des cultures

Séminaire agroécologie Montpellier du 09 décembre 2014 : Protection agroécologique des cultures : principes, application sur le terrain, impact sur la biodiversité fonctionnelle

Intervenant(s): J-P Deguine, Cirad UMR PVBMT





 visionner la vidéo: http://vimeo.com/groups/agroecologie/videos/116070045?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+ActualitesDuSiteAgropolisInternational+%28Actualites+du+site+Agropolis+International%29


 Source:  http://www.agropolis.fr/actualites/index.php

 

vendredi 9 janvier 2015

Un papillon moitié mâle, moitié femelle

Les ailes droites de ce spécimen de Lexias pardalis sont caractéristiques d'une femelle tandis que les ailes gauches sont typiques d'un mâle. © J.D. Weintraub/ANSP Entomology

Publié le 09-01-2015

INATTENDU. La surprise de Chris Johnson, bénévole pour l'exposition Butterflies ! de l'Academy of Natural Sciences of Drexel University, a été grande quand il a trouvé un spécimen de papillon particulièrement inhabituel. C'est en vidant la chambre d'éclosion, où les papillons sortent de leurs chrysalides, que le bénévole a découvert un papillon présentant des caractéristiques mâles et femelles. Les deux ailes droites, marrons avec des points jaunes et blancs, sont typiques d'une femelle de cette espèce. Alors que les ailes gauches, plus sombres, présentent une coloration bleu et verdâtre sur leur partie inférieure. Ce qui est caractéristique d'un mâle. Selon Jason Weintraub, entomologiste, ce papillon, un archiduc commun (Lexias pardalis), est atteint de gynandromorphisme bilatéral, c'est à dire que son corps est divisé en deux parties distinctes, mâles et femelles.

Le gynandromorphisme est extrêmement rare

 Le gynandromorphisme, souvent observé chez les oiseaux et les papillons dont les deux sexes ont des couleurs très différentes, peut résulter d'une non-disjonction des chromosomes sexuels. Cette anomalie est extrêmement rare. Mais les scientifiques ne savent pas à quel point car son étude est négligée chez la plupart des espèces dont les deux sexes ont une apparence similaire. Les différences entre les sexes sont le résultat d'un processus de sélection sexuelle au cours duquel les femelles (le plus souvent) sélectionnent un partenaire mâle en fonction de certains traits qui se transmettent ensuite de générations en générations.
ÉTUDE. Les chercheurs ont décidé de conserver ce papillon rare dans la collection d'entomologie de l'université, qui compte tout de même plus de 3,5 millions de spécimens. Ils souhaitent en faire un objet d'étude dans les domaines de l'anatomie, de l'évolution et de la morphologie comparative. Selon les experts, la collecte d'insectes de manière régulière tous les ans permet de suivre l'évolution des effectifs. Mais aussi de comprendre l'impact du changement climatique sur les populations d'insectes.

Source de l'article:  http://www.sciencesetavenir.fr/animaux/20150109.OBS9600/un-papillon-moitie-male-moitie-femelle.html








Gestion des ressources en eau 2015 — 8ème Conférence Internationale sur la gestion viable des ressources en eau



8th International Conference on Sustainable Water Resources Management

15 Jun 2015 → 17 Jun 2015 

A Coruna, Espagne

site web:  http://www.wessex.ac.uk/15-conferences/water-resources-management-2015/page-7.html


Brochure: https://drive.google.com/file/d/0B31_DDeBbdcnQ1VXSkczcktfSTg/view?usp=sharing


jeudi 8 janvier 2015

1st International Workshop " Management and Genetic Improvement of Animal" - Tlemcen - Algeria


From 17 to 19 may 2015
     Auditorium, faculty of Medicine, Tlemcen, Algeria


Site web:  http://mgiar.univ-tlemcen.dz/

Dr. Gaouar S, T. + 213 (0)5 59 30 42 76

Des drones pour repérer les nuisibles agricoles ?

Des scientifiques de l'Institut Fraunhofer de production et d'automatisation (IFF) de Magdebourg (Saxe-Anhalt) ont mis au point une méthode de détection des maladies des plantes par survol des champs. A l'aide d'une analyse hyperspectrale, le logiciel développé par l'équipe de recherche permet de repérer les nuisibles (maladies, virus, champignons) dans les phases préliminaires de l'infection, lorsqu'il est encore temps de traiter les cultures.

Bien avant que les symptômes visibles n'apparaissent, le métabolisme des plantes réagit déjà en prenant des mesures de protection qui ont un impact sur leur composition. La caméra hyperspectrale prend des clichés, compris entre les ultraviolets et l'infrarouge (tous deux inclus), ce qui permet d'observer quelle gamme de longueurs d'ondes est réfléchie par les plantes (observable par la caméra) et d'en déduire quelle part de la lumière est absorbée. Le spectre d'absorption étant caractéristique de la composition moléculaire, il est ainsi possible de repérer par survol les "métabolismes de défense" de plantes infectées et de prendre des mesures appropriées en conséquence, tant qu'il en est encore temps.

L'idée de l'analyse hyperspectrale a été empruntée aux scientifiques de l'Institut Leibniz d'agronomie (ATB) de Potsdam-Bornim (Brandebourg) qui l'utilisaient dans des serres où l'installation d'une caméra ne posait pas de problème technique. Ils testaient ainsi la résistance de croisements de plantes, en repérant leurs réactions beaucoup plus tôt, ce qui permettait de gagner du temps dans le développement de nouvelles variétés de plants résistants. Les chercheurs de l'IFF ont eu l'idée de transposer cette technique sur un petit avion, l'utilisation d'un véhicule terrestre avec un mat s'étant avérée inefficace. Dans l'avenir, ils espèrent pouvoir se servir de drones afin d'automatiser ce procédé. Néanmoins, la charge utile de ces engins n'est à l'heure actuelle pas encore suffisamment élevée pour pouvoir embarquer l'équipement nécessaire.

Les gains économiques apportés par un tel procédé se situeraient sur deux plans :
- Une hausse de la productivité avec un meilleur rendement des récoltes ;
- Une baisse de la consommation de pesticides, qui pourraient ainsi être mieux dosés et utilisés uniquement lorsque cela est nécessaire. Ce qui constitue par ailleurs un argument supplémentaire d'un point de vue environnemental et de santé publique.

Les coûts d'un équipement complet restent importants. Néanmoins plusieurs opportunités d'entrée sur le marché semblent s'esquisser :
- La mutualisation de l'achat par plusieurs agriculteurs via des coopératives ;
- La vente au détail de ce service aux agriculteurs via des entreprises spécialisées. En Allemagne, geo-konzept GmbH (Adelschlag, Bavière) propose déjà des survols automatisés pour produire des cartographies multispectrales des champs (lumière visible uniquement) ;
- L'intégration de ce nouveau procédé dans les offres commerciales des fabricants de pesticides. Ceux-ci ont en effet montré leur intérêt pour le procédé qu'ils pourraient intégrer au sein de nouvelles offres commerciales plus orientées vers l'économie de fonctionnalité (vente d'un service d'éradication des nuisibles) que vers la vente de biens (vente de pesticides). 


Pour en savoir plus: Site de l'entreprise geo-konzept GmbH (en allemand uniquement) : http://www.geo-konzept.de/de/index.php

Sources: "Diagnose per Drohne", article de presse issu de Der Tagesspiegel - 16/12/2014

Rédacteurs : Sean Vavasseur, sean.vavasseur@diplomatie.gouv.fr - http://www.science-allemagne.fr


Origine: BE Allemagne numéro 685 (8/01/2015) - Ambassade de France en Allemagne / ADIT - http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/77606.htm

Revue de presse hebdomadaire de l'INRAA du 04 au 08 janvier 2015

Veuillez télécharger la revue de presse hebdomadaire de cette semaine relative aux activités du monde agricole nationale en format pdf : 
 https://drive.google.com/file/d/0B31_DDeBbdcnQ1QwV2syTWxxNzA/view?usp=sharing



Zoologie: Un nouveau ver luisant

  Publié le 05-01-2015 

 C'est dans la forêt tropicale péruvienne que des entomologistes ont découvert cet étrange insecte.

 
C'est un étrange ver luisant d'un peu plus d'un centimètre qu'ont découvert des entomologistes en résidence au Centre de recherche de Tambopata, en pleine forêt tropicale péruvienne. Ce qui semble être une larve de scarabée émet une lumière verte puissante qui attire fourmis et termites dont elle se nourrit.

NUMÉRIQUE. Ce texte est extrait de Sciences et Avenir 815 actuellement en kiosque. Le journal est également disponible à l'achat en version numérique via l'encadré ci-dessous.

Source de l'article: http://www.sciencesetavenir.fr/animaux/20141230.OBS9045/un-nouveau-ver-luisant.html

 

Science du sol: Le rôle des amibes dans le sol

L’année internationale des sols a débuté le 5 décembre 2014. Histoire de faire plus ample connaissance avec ce "plancher des vaches" méconnu.

 L'année 2015 a été déclarée Année internationale des sols par l’Assemblée générale des Nations unies. L'occasion d'évoquer le rôle des amibes dans les sols. Un rôle encore mal connu et pourtant capital si l’on veut nourrir l’humanité au 21e siècle. Les précisions d'Edward Mitchell, professeur à l’institut de Biologie de l’Université de Neuchâtel, responsable du laboratoire de biologie du sol et passionné d’amibes.

 http://www.rts.ch/decouverte/sciences-et-environnement/6429784-le-role-des-amibes-dans-le-sol.html

mercredi 7 janvier 2015

Phylogenomics resolves the timing and pattern of insect evolution

Science
Vol. 346 no. 6210 pp. 763-767
DOI: 10.1126/science.1257570 


 Résumé de l'article:

Les insectes sont la plupart de groupe de speciose d'animaux, mais les relations phylogénétiques de beaucoup de lignées importantes demeurent non résolues. Nous avons impliqué la phylogénie des gènes de protéine-codage d'insectes à partir de 1478. Analyses de Phylogenomic de nucléotide et de séquences des acides aminés, avec du nucléotide site-spécifique ou la domaine-Spéc. 

 http://www.sciencemag.org/content/346/6210/763

New pasture plants intensify invasive species risk

Edited by David B. Wake, University of California, Berkeley, CA, and approved October 3, 2014 (received for review May 19, 2014) 

http://www.pnas.org/content/111/46/16622

Réduction des émissions de Ges: Le développement de pratiques agricoles écologiques est une priorité

06/01/2015 | par | Terre-net Média



L’agriculture et l’élevage français sont responsables de 20 % des émissions de gaz à effet de serre (Ges) produites à plus de 74 % par le sol. Une étude de l’Inra France et de l’Ademe propose plusieurs scénarios technologiques afin de réduire la production de Co2 et de No2 et de stocker du carbone atmosphérique dans le sol. Ils reposent sur des pratiques agricoles plus écologiques sans remettre en cause l’emploi de matériels performants.


Le changement du climat de la planète et les émissions de gaz à effet de serre (Ges) sont au programme des grandes négociations internationales au même titre que les sujets portant sur la défense, la sécurité ou la croissance économique. En décembre prochain, la France sera l’hôte de la 21e conférence "Paris Climat 2015" sous l’égide de l’Onu, qui rassemblera les représentants des 195 états membres de la planète. Avec comme seul mot d’ordre : trouver un accord programmatique pour limiter la hausse des températures de la planète de 2°C en 2100.
La réduction des Ges fait partie des quatre défis que l’agriculture mondiale doit relever avec la nécessité de nourrir 9 milliards d’homme, de produire de l’énergie et d’élaborer de nouveaux matériaux. Et comme en France, ces émissions de gaz représentent 20 % de la production totale de la planète, la contribution de l’agriculture sera particulièrement importante. Les émissions de Ges sont deux fois plus élevées sur notre territoire que dans les autres pays européens en raison des surfaces substantielles qu'occupe l’agriculture.

Six scénarios envisageables

C’est aussi la production d’électricité d’origine nucléaire qui réduit proportionnellement les autres sources d’émissions de Ges en France et augmente par conséquent la part de l'agriculture. En Allemagne, la combustion de charbon et les quantités massives de gaz relâchées dans l’atmosphère atténuent proportionnellement les contributions d’origine agricole.
Six travaux expérimentaux réalisés par l’Inra et l’Ademe, et repris par le centre d’études et de prospective du ministère de l’agriculture, proposent différents scénarios pour réduire de 10 à 65 % les émissions de Ges par rapport à leur niveau de 2005. Certains d’entre eux s’inscrivent dans la continuité des efforts déjà entrepris tandis que d’autres sont en rupture totale avec les pratiques agricoles actuelles.
Mais comme 74 % de ces gaz sont émis par les sols et par les fermentations entériques (avec du NO2 au pouvoir de réchauffement 298 fois supérieur au CO2), les actions des scénarios présentés reposent d’abord sur l’adoption de pratiques agronomiques adéquates et non pas, comme le laisse entendre l’opinion publique, sur des actions visant à avant tout à maîtriser les déjections animales ou à réduire la consommation d’énergie. Autrement dit, en renonçant à l’emploi de matériels agricoles.
En France, une baisse de 12 % des émissions de Ges serait possible par un simple déploiement de techniques adaptées sans remettre en cause le modèle agricole et la vocation exportatrice.
Une réduction de 20 % de ces mêmes émissions suppose, selon l’Ademe, le recours à des pratiques agricoles agro-écologiques et à l’extension de l’agriculture biologique sur 20 % de la surface agricole. Avec moins d’animaux dans les exploitations, la consommation de soja baisserait en conséquence. Mais ce scénario conduira à une baisse des rendements de céréales et à une consommation d’engrais azotés réduite de 22 %.

Changement de paradigme

Sinon, des scénarios "plus volontaristes" envisageant une baisse de 50 et 60% des émissions de Ges d’ici 2030 obligeraient l’agriculture à changer de paradigme en donnant la priorité à l’autonomie complète des exploitations agricoles. Les surfaces pâturées s’accroîtraient alors au détriment des grandes cultures. Mais la France devrait renoncer à sa vocation exportatrice et à celle de terre d’élevages consommateurs de matières premières agricoles. Enfin, les consommateurs seraient contraints d’adopter de nouvelles habitudes alimentaires en diminuant la consommation de produits carnés, en réduisant le gaspillage de matières premières agricoles ou encore en favorisant la consommation de protéines végétales.
Prises individuellement, certaines actions sont plus efficaces que d’autres pour limiter les émissions de Ges. Certaines pratiques contribuent même à stocker du carbone dans le sol et réduiraient les charges des exploitants. Citons, par exemple, les prairies de légumineuses ou la fertilisation organique.

32 millions de tonnes de CO2

Les techniques de culture superficielles et le labour des parcelles une fois tous les cinq ans favorisent aussi le stockage du carbone sans générer de frais particulier, selon les études du ministère de l’Agriculture. En revanche, si les cultures intermédiaires fixent massivement le carbone atmosphérique, leur implantation est onéreuse. D'où la nécessité d'allouer des aides publiques spécifiques pour les rendre plus attractives auprès des agriculteurs.
Au total, en cumulant les effets de toutes les pratiques agricoles écologiques disponibles, il serait possible d'atténuer les émissions de Ges d'origine agricole de 32 millions de tonnes équivalent CO2 chaque année. 
C’est le prix de la tonne de carbone en équivalent CO2 sur les marchés des matières premières (les hydrocarbures par exemple), par rapport auquel pourrait reposer une approche économique des actions à mettre en place, qui déterminerait le potentiel de réduction des émissions de Ges. A 40 € la tonne, celui-ci est de de 12 %. Autrement dit, le prix de la tonne de CO2 ne serait pas suffisamment incitatif pour favoriser et rémunérer les pratiques agricoles écologiques onéreuses à mettre en œuvre avec des matériels agricoles appropriés. A 90 € la tonne, le spectre des actions à développer pour réduire de 20 % ou plus les émissions de Ges serait beaucoup plus étendu. Au delà, le prix de la tonne de carbone en équivalent CO2 pourrait conduire à une refonte totale des modèles de production et de consommation puisque les intrants seraient très chers à l'achat.
L’ensemble de ces scénarios constitue des pistes de recherche importantes mais ils ne mesurent pas toutefois les difficultés qui pourraient être rencontrées pour les mettre en œuvre. Ils reposent sur un parc de matériels adapté sans remettre en question cependant la nécessité d’être équipé de machines performantes consommant davantage d’hydrocarbures renouvelables.

Source de l'article:  http://www.terre-net.fr/actualite-agricole/economie-social/article/le-developpement-de-pratiques-agricoles-ecologiques-est-une-priorite-202-106845.html

mardi 6 janvier 2015

6ème Colloque Internationale sur les ressources en eau et le développement durable


Thèmes :

    1 – Ressources en eau et Changements climatiques.
    2 – Grands Aménagements Hydrauliques et Energie.
    3 – Hydraulique Urbaine (AEP et Assainissement).
    4 – Irrigation et Drainage Agricole.
    5 – Eaux non conventionnelles et Environnement.
    6 – Economie, Management et Education à l'Eau.



CONGRÈS INTERNATIONAL SUR LA SÉCURITÉ ET L'AUTHENTICITÉ DES PRODUITS D'ABEILLE 2015 - FHTT 2015



FROM HIVE TO TABLE 2015 - INTERNATIONAL CONGRESS ON
SAFETY AND AUTHENTICITY OF BEE PRODUCTS
21-22 May 2015



Istanbul - TURKEY

Sujets: nourriture, sécurité alimentaire, authenticité, abeille, produits d'abeille, produit, miel, gelée royale, pollen, propolis, pesticide, médicaments vétérinaires 

Site web: http://www.fhtt2015.org/

lundi 5 janvier 2015

5ème colloque international sur la matière organique du sol

20 Sep 2015 → 24 Sep 2015

 Göttingen, Allemagne

 La matière organique du sol (SOM) est la caractéristique la plus intrigante des sols et d'une des propriétés les plus fascinantes des écosystèmes terrestres. SOM est le paramètre d'intégration de la fertilité du sol et de la stabilité des écosystèmes agricoles et naturels.

Site web:  http://www.som2015.org/index.php?id=26630

2ème conférence internationale interdisciplinaire sur la QUALITÉ de l'EAU et l'utilisation de la TERRE : Production agricole et l'environnement

2nd International Interdisciplinary Conference on LAND USE AND WATER QUALITY

 21 Sep 2015 → 24 Sep 2015 

 Vienne, Autriche

Sujets de la Conférence:  agronomie, agro-sciences économiques, agro-sociologie, gestion de l'eau, politique de l'eau, hydrologie, écosystèmes aquatiques, écosystèmes terrestres, zone non saturée, eaux de surface d'eau souterrain et, eau potable, surveillance, modélisation, qualité de l'eau, éléments nutritifs, pesticides et d'autres agrochemicals organiques, métaux lourds 

Site web:  http://web.natur.cuni.cz/luwq2015/