Chez les techniciens de la protection des végétaux, l'alerte est au rouge. On prodigue conseils et instructions techniques, mais les caprices du climat semblent s'en ficher éperdument !
En ayant pris, cette fois-ci les devants, on ne manifeste pas
d'angoisse chez les grand producteurs de pomme de terre, mais la maladie
commence à faire son apparition chez les petits agriculteurs c’est pour
cela qu’il faut être prudent pour échapper au risque d'un nouvel échec.
La débâcle, voire la ruine, des récentes saisons passées, ayant érigé
la “mémorable” crise de la pomme de terre en véritable affaire d'Etat,
demeure tout aussi vivace dans les esprits. Aussi s'attèle-t-on à
inviter les agriculteurs à traiter leurs champs de pomme de terre avec
le produit approprié afin de préserver les récoltes de cette redoutable
maladie cryptogamique.
En effet, les conditions atmosphériques particulières de ces derniers jours sont en train d'entraver sérieusement les cultures maraîchères et fruitières, notamment au niveau des cultures sensibles au mildiou, comme c'est le cas pour la pomme de terre et la vigne. Déjà au niveau de certains champs, les attaques de ce champignon saisonnier auront littéralement brûlé les feuilles tendres des plants de patate. Ce phénomène aura été fortement accentué sur les parcelles dont l'irrigation est assurée par les systèmes d'aspersion. Une technique efficace, moins coûteuse mais dont les conséquences peuvent être désastreuses car en provoquant et en entretenant une humidité relativement élevée, l'aspersion ne fait que créer les conditions idéales de propagation du mildiou contre lequel, eu égard aux conditions climatiques en vigueur, les multiples traitements à base de produits de contact ne sont d'aucun secours. Par contre, sur les champs irrigués à la raie, une technique ancestrale, la maladie n'aura fait que de faibles apparitions. Par ailleurs, la persistance de ce temps maussade devrait favoriser l'apparition des maladies similaires au niveau du vignoble. Une culture très sensible en cette période de croissance végétative accélérée. Paradoxalement, l'apparition du mildiou sur la pomme de terre n'aura pas fait réagir les viticulteurs. Une baisse de vigilance qui pourrait leur en coûter beaucoup. Selon les spécialistes de la protection des végétaux, ce fléau véritable est favorisé par les changements climatiques, très fréquents en cette période, alliant température et hygrométrie hautes et optimales, pour rendre les plantes particulièrement réfractaires à ce champignon. Cette maladie survient alors que les fellahs de la wilaya s'attendaient à une récolte record, ou du moins fort bonne, après les fortes chutes de pluie enregistrées durant le mois d'octobre, d'autant plus que la plupart d'entre eux n'ont pas souscrit d'assurance pour leur production. Nombreux sont les « patatiers » à avoir préféré anticiper l'arrachage et la mise sur le marché de leur produit agricole.
En effet, les conditions atmosphériques particulières de ces derniers jours sont en train d'entraver sérieusement les cultures maraîchères et fruitières, notamment au niveau des cultures sensibles au mildiou, comme c'est le cas pour la pomme de terre et la vigne. Déjà au niveau de certains champs, les attaques de ce champignon saisonnier auront littéralement brûlé les feuilles tendres des plants de patate. Ce phénomène aura été fortement accentué sur les parcelles dont l'irrigation est assurée par les systèmes d'aspersion. Une technique efficace, moins coûteuse mais dont les conséquences peuvent être désastreuses car en provoquant et en entretenant une humidité relativement élevée, l'aspersion ne fait que créer les conditions idéales de propagation du mildiou contre lequel, eu égard aux conditions climatiques en vigueur, les multiples traitements à base de produits de contact ne sont d'aucun secours. Par contre, sur les champs irrigués à la raie, une technique ancestrale, la maladie n'aura fait que de faibles apparitions. Par ailleurs, la persistance de ce temps maussade devrait favoriser l'apparition des maladies similaires au niveau du vignoble. Une culture très sensible en cette période de croissance végétative accélérée. Paradoxalement, l'apparition du mildiou sur la pomme de terre n'aura pas fait réagir les viticulteurs. Une baisse de vigilance qui pourrait leur en coûter beaucoup. Selon les spécialistes de la protection des végétaux, ce fléau véritable est favorisé par les changements climatiques, très fréquents en cette période, alliant température et hygrométrie hautes et optimales, pour rendre les plantes particulièrement réfractaires à ce champignon. Cette maladie survient alors que les fellahs de la wilaya s'attendaient à une récolte record, ou du moins fort bonne, après les fortes chutes de pluie enregistrées durant le mois d'octobre, d'autant plus que la plupart d'entre eux n'ont pas souscrit d'assurance pour leur production. Nombreux sont les « patatiers » à avoir préféré anticiper l'arrachage et la mise sur le marché de leur produit agricole.
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