Publié le 17/06/2015
Face à la disparition des abeilles en Europe, l’Observatoire Français d’Apidologie (l’étude du comportement des abeilles, des pathologie apicoles et des techniques d’élevage d’essaims et de reines) lance un vaste programme européen dédié à la structuration de la filière apicole. L’objectif : former 30 000 professionnels européens capables de protéger et de dynamiser les populations d’abeilles européennes.
Si la protection des abeilles est aujourd’hui l’un des leit motiv les plus médiatisés des écologistes, ce n’est pas pour rien. 1/3 de l’alimentation mondiale dépend des insectes pollinisateurs, majoritairement les abeilles sauvages et domestiques. Leur disparition aurait des conséquences graves sur l’écosystème agricole et sur la biodiversité (pour plus d’informations, consultez cette vidéo « Que se passerait-il si les abeilles disparaissaient ? »).
Pourtant, la situation de ces insectes est aujourd’hui plus que préoccupante. Aux Etats-Unis, le taux de mortalité des abeilles est supérieur à 38% par an, en grande partie à cause de l’utilisation massive de néonicotinoïdes (des pesticides neurotoxiques qui affectent les abeilles). En Europe, si la situation est moins alarmante, les chiffres sont préoccupants. Au Royaume-Uni, le taux de mortalité s’élève à 28%, tandis qu’en France il serait officiellement situé autour de 14% (l’union Nationale de l’Apiculture Française, principal syndicat de la profession avance quant à lui 30% de mortalité annuelle). Face à ces disparitions, la Commission Européenne a d’ailleurs décidé un moratoire sur l’utilisation des trois principaux néonicotinoïdes, moratoire qui prendra fin en Décembre 2015. La France vient elle-aussi de se lancer dans un vaste programme de protection des abeilles, présenté fin mai en Conseil des Ministres par Ségolène Royal.
Lire la suite sur: http://e-rse.net/sauver-abeilles-structurant-filiere-apicole-12434/
Face à la disparition des abeilles en Europe, l’Observatoire Français d’Apidologie (l’étude du comportement des abeilles, des pathologie apicoles et des techniques d’élevage d’essaims et de reines) lance un vaste programme européen dédié à la structuration de la filière apicole. L’objectif : former 30 000 professionnels européens capables de protéger et de dynamiser les populations d’abeilles européennes.
Si la protection des abeilles est aujourd’hui l’un des leit motiv les plus médiatisés des écologistes, ce n’est pas pour rien. 1/3 de l’alimentation mondiale dépend des insectes pollinisateurs, majoritairement les abeilles sauvages et domestiques. Leur disparition aurait des conséquences graves sur l’écosystème agricole et sur la biodiversité (pour plus d’informations, consultez cette vidéo « Que se passerait-il si les abeilles disparaissaient ? »).
Pourtant, la situation de ces insectes est aujourd’hui plus que préoccupante. Aux Etats-Unis, le taux de mortalité des abeilles est supérieur à 38% par an, en grande partie à cause de l’utilisation massive de néonicotinoïdes (des pesticides neurotoxiques qui affectent les abeilles). En Europe, si la situation est moins alarmante, les chiffres sont préoccupants. Au Royaume-Uni, le taux de mortalité s’élève à 28%, tandis qu’en France il serait officiellement situé autour de 14% (l’union Nationale de l’Apiculture Française, principal syndicat de la profession avance quant à lui 30% de mortalité annuelle). Face à ces disparitions, la Commission Européenne a d’ailleurs décidé un moratoire sur l’utilisation des trois principaux néonicotinoïdes, moratoire qui prendra fin en Décembre 2015. La France vient elle-aussi de se lancer dans un vaste programme de protection des abeilles, présenté fin mai en Conseil des Ministres par Ségolène Royal.
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