Une quinzaine de projets de recherche et développement dans
l’agriculture et l’industrie agroalimentaire ont été identifiés dans le
cadre du programme Fawira dont quatre sont prêts à être soumis à la
Commission européenne pour financement, a indiqué jeudi un responsable
de l’Institut national des recherches agronomiques (INRAA).
PUBLIE LE : 29-11-201
Une quinzaine de projets de recherche et développement dans l’agriculture et l’industrie agroalimentaire ont été identifiés dans le cadre du programme Fawira dont quatre sont prêts à être soumis à la Commission européenne pour financement, a indiqué jeudi un responsable de l’Institut national des recherches agronomiques (INRAA). Ces projets s’inscrivent dans le cadre du projet Fawira, un programme de renforcement des capacités en alimentation, agroalimentaire, l’eau et la recherche en Algérie en partenariat avec la Commission européenne. «Nous avons finalisé quatre projets qui sont prêts à être soumis à la Commission européenne dès que celle-ci publiera les appels à proposition des projets compétitifs», a indiqué Ali Ferrah, coordinateur international du projet Fawira I lors de la clôture du programme. Il s’agit, selon le même responsable, du projet de production des biofertilisants, de l’utilisation des microbes à des fins industriels, d’un projet de suivi des rendements par satellite et de l’amélioration de la production d’huile d’olive algérienne. Concernant l’huile d’olive, le projet vise à améliorer la qualité de ce produit et à trouver des solutions aux problématiques des acteurs en termes de qualité, de récolte, de commercialisation et de marketing. Ce projet porte sur la création d’un cluster (groupement d’entreprises, d’acteurs scientifique et d’institutions) qui travaillent ensemble pour développer l’huile d’olive dans la région de Bouira. L’objectif visé par ce cluster est de produire une huile d’olive de qualité et conforme aux normes internationales. «Ce sont des projets concrets avec des opérateurs qui sont prêts à s’investir y compris financièrement», souligne M. Ferrah. D’autres projets sont en cours de maturation, a indiqué pour sa part Fouad Chehat, directeur général de l’INRAA, organisme qui coordonne le programme au niveau national.
Il s’agit notamment de l’utilisation de micro-organisme dans le sol pour permettre la fixation de l’azote afin d’utiliser peu de fertilisants chimiques. Le projet Fawira vise à apprendre aux chercheurs algériens à monter des projets complexes intégrant des équipes de différentes nationalités. Financé par la Commission européenne, dans le cadre du 7e Programme-Cadre européen (FP7) pour la recherche et le développement technologique, le projet Fawira vise notamment l’identification des besoins et les demandes des entreprises et des acteurs institutionnels dans les domaines de la recherche et développement et de l’innovation, l’identification des idées de projet à développer en partenariat avec le consortium Fawira et les partenaires nationaux, les PME en particulier.
Article d'origine: http://www.elmoudjahid.com/fr/actualites/70168
PUBLIE LE : 29-11-201
Une quinzaine de projets de recherche et développement dans l’agriculture et l’industrie agroalimentaire ont été identifiés dans le cadre du programme Fawira dont quatre sont prêts à être soumis à la Commission européenne pour financement, a indiqué jeudi un responsable de l’Institut national des recherches agronomiques (INRAA). Ces projets s’inscrivent dans le cadre du projet Fawira, un programme de renforcement des capacités en alimentation, agroalimentaire, l’eau et la recherche en Algérie en partenariat avec la Commission européenne. «Nous avons finalisé quatre projets qui sont prêts à être soumis à la Commission européenne dès que celle-ci publiera les appels à proposition des projets compétitifs», a indiqué Ali Ferrah, coordinateur international du projet Fawira I lors de la clôture du programme. Il s’agit, selon le même responsable, du projet de production des biofertilisants, de l’utilisation des microbes à des fins industriels, d’un projet de suivi des rendements par satellite et de l’amélioration de la production d’huile d’olive algérienne. Concernant l’huile d’olive, le projet vise à améliorer la qualité de ce produit et à trouver des solutions aux problématiques des acteurs en termes de qualité, de récolte, de commercialisation et de marketing. Ce projet porte sur la création d’un cluster (groupement d’entreprises, d’acteurs scientifique et d’institutions) qui travaillent ensemble pour développer l’huile d’olive dans la région de Bouira. L’objectif visé par ce cluster est de produire une huile d’olive de qualité et conforme aux normes internationales. «Ce sont des projets concrets avec des opérateurs qui sont prêts à s’investir y compris financièrement», souligne M. Ferrah. D’autres projets sont en cours de maturation, a indiqué pour sa part Fouad Chehat, directeur général de l’INRAA, organisme qui coordonne le programme au niveau national.
Il s’agit notamment de l’utilisation de micro-organisme dans le sol pour permettre la fixation de l’azote afin d’utiliser peu de fertilisants chimiques. Le projet Fawira vise à apprendre aux chercheurs algériens à monter des projets complexes intégrant des équipes de différentes nationalités. Financé par la Commission européenne, dans le cadre du 7e Programme-Cadre européen (FP7) pour la recherche et le développement technologique, le projet Fawira vise notamment l’identification des besoins et les demandes des entreprises et des acteurs institutionnels dans les domaines de la recherche et développement et de l’innovation, l’identification des idées de projet à développer en partenariat avec le consortium Fawira et les partenaires nationaux, les PME en particulier.
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