Cliquer sur le lien pour télécharger la revue de presse relative aux activités du monde agricole nationale en format pdf
jeudi 31 décembre 2015
Revue de presse hebdomadaire de l'INRAA du 27 au 31 décembre 2015
Cliquer sur le lien pour télécharger la revue de presse relative aux activités du monde agricole nationale en format pdf
Contribution de l'Algérie à la 10ème reconstitution des ressources du FIDA
Publié le mercredi, 30 décembre 2015
Le Conseil des ministres, réuni mercredi sous la présidence du
Président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a adopté un décret
présidentiel, présenté par le ministre des Finances, qui autorise la
contribution de l'Algérie à la 10ème reconstitution des ressources du
Fonds international de développement agricole (FIDA).
Le Conseil des gouverneurs du FIDA avait décidé, en 2014, d'une 10ème
reconstitution des ressources de ce Fonds à hauteur de 1,44 milliard de
dollars, dans laquelle la part due par l'Algérie s'élève à 10 millions
de dollars, libérables en trois versements annuels, précise le
communiqué du Conseil des ministres.
Le programme de coopération du FIDA en Algérie recouvre notamment
l'amélioration des systèmes de production de céréales face aux
changements climatiques.
Basé à Rome et créé en 1977, le FIDA est une institution spécialisée de
l'ONU qui agit comme une banque d'aide au développement ayant pour
vocation d'aider financièrement au développement agricole et rural dans
les pays en développement et en transition, rappelle-t-on.
Il se donne pour mission d'y combattre la faim, la malnutrition et la
pauvreté par l'amélioration des moyens et techniques agricoles et par la
création et la modernisation d'activités agricoles ou commerciales en
milieu rural, notamment moyennant des projets de micro-financement gérés
au niveau local.
Lors de la 38ème session du conseil des Gouverneurs du FIDA, tenue en
février dernier dans la capitale italienne, la délégation algérienne
avait présenté la politique nationale du renouveau rural pour mettre en
exergue l'expérience algérienne et les leçons tirées dans ce domaine.
Cette session avait également été l'occasion pour évaluer la
coopération entre l'Algérie et le FIDA, et ce, à la lumière des
résultats de la mission technique effectuée dans le pays par les experts
du Fonds en janvier dernier.
mercredi 30 décembre 2015
Publication FAO: La situation des marchés des produits agricoles 2015-16 (SOCO)
Commerce et sécurité alimentaire: trouver un meilleur équilibre
entre les priorités nationales et le bien commun
Titre de publication en série: State of Agricultural Commodity Markets
Année de publication: 2015
Éditeur: FAO
Pages: 95 p.
Résumé:
Le commerce mondial de produits agricoles et alimentaires s’est accru
rapidement ces dernières décennies, avec des pays amenés à prendre
davantage part aux échanges, que ce soit en tant qu’exportateur ou
en tant qu’importateur. Cette tendance devrait continuer au cours
des prochaines décennies. Par voie de conséquence, les échanges
mondiaux de produits influenceront de plus en plus l’étendue
et la nature de la sécurité alimentaire dans toutes les régions du
globe. Le défi, aujourd’hui, est donc de veiller à ce que l’essor du
commerce agricole aille dans le sens de l’élimination de la faim,
de la malnutrition et de l’insécurité alimentaire, et non l’inverse.
L’objectif de cette édition de La situation des marchés des produits
agricoles est d’atténuer la polarisation actuelle des points de vue
sur les impacts qu’a le commerce des produits agricoles sur la
sécurité alimentaire, et sur la manière dont le commerce agricole
devrait être régi de sorte qu’une ouverture accrue aux échanges
profite à tous les pays. En donnant des éléments concrets et des
éclaircissements sur une gamme de sujets, le présent rapport vise
à contribuer à un débat plus éclairé sur les choix de politique et
à dresser l’inventaire des améliorations qu’il faut apporter dans
les processus politiques au sein desquels ces choix sont faits.
Source: http://www.fao.org/documents/
Nécessité d’étendre l’usage des TIC à la vulgarisation agricole
Publié le mardi, 29 décembre 2015
Des agronomes ont plaidé mardi à Médéa pour la nécessité d’étendre
l’usage des nouvelles technologies de l’information et de la
communication (NTIC) à la vulgarisation agricole.
Intervenant dans le cadre d’une rencontre nationale sur le thème, ces
spécialistes ont estimé que l’adoption des TIC dans l’information des
agriculteurs est "un impératif susceptible de contribuer au
développement agricole".
Le sous-directeur de la vulgarisation auprès du ministère de
l’agriculture, Mohamed Khayati, a souligné les efforts de la tutelle
dans l’adoption d’un "nouveau mode de communication visant à transmettre
l’information au plus grand nombre possible d’agriculteurs et
d’éleveurs, en un temps record".
"Les Nouvelles TIC permettent une transmission rapide de l’information,
tout en offrant l’opportunité d'exposer à temps les doléances et
préoccupations des agriculteurs relatives, entre autres, aux maladies
touchant leurs récoltes et bétail, et à la météorologie", a-t-il ajouté.
L’exploitation des TIC par les agriculteurs est actuellement "très
faible" et nécessite des campagnes d’information pour les convaincre de
leur importance, a estimé, pour sa part, le directeur des études à
l’Institut national de la vulgarisation agricole d’Alger, Mohamed
Abdelmotalib. Il a, toutefois, relevé, que l'amélioration du niveau
d'instruction chez grand nombre d'agriculteurs "augure d’un bon avenir
pour ce projet".
Ce projet permettra, selon le même responsable, de "mieux informer les
agriculteurs sur les maladies pouvant affecter leurs récoltes, sur les
moyens de leur prévention ainsi que sur les dates des campagnes de
vaccination du cheptel, et toutes les nouveautés introduites dans le
secteur".
Cette rencontre de deux jours a notamment permis la présentation
d'expériences réalisées en la matière par de nombreux pays, dont
l’Argentine, l’Egypte et des Etats du Golfe, outre un exposé sur l’usage
des TIC dans les échanges avec les agriculteurs.
Inscription à :
Articles (Atom)