Visuel de l’architecte rennais Jean-Pierre Meignan. | InVivo-NSA
Sa Maison de l’innovation
doit aider ce leader en Nutrition et santé animales (Morbihan) à
solutionner l’alimentation mondiale, demain.
Le groupe morbihannais In vivo,
spécialiste de la nutrition et santés animales ne se borne pas à
construire des usines et laboratoires destinés à faire progresser la
recherche sur les aliments pour animaux dans le monde (28 pays, 150
chercheurs), il dote son siège, à Saint-Nolff d’une maison mondiale de
l’innovation.
5 millions d'euros
Ce bâtiment de
2 100 m2, aux normes écologiques les plus avancées, commence à sortir de
terre pour être opérationnel au premier semestre 2016. L’entreprise a
investi 5 millions d’euros dans ce projet.
Elle souhaite par l’accueil de compétences internes et externes (sous
la forme de start up) favoriser l’émergence de solutions
agro-industrielles, pour lui permettre de relever « le défi de pouvoir nourrir 8 milliards d’êtres humains en 2025 », a résumé vendredi, Hubert de Roquefeuil, président du groupe In vivo, lors de l’inauguration du chantier.
56 emplois à la clé
Ce
bâtiment, conçu pour permettre des échanges d’informations, accueillera
à terme une centaine de salariés, appelés à y phosphorer. Pour moitié,
ces postes résultent de création au sein même de la société.
Ce centre de l’innovation fonctionnera en réseau avec les partenaires
locaux, des acteurs comme l’Institut national de la recherche
agronomique et les universités du monde entier. « Enfin, il joue
un rôle d’incubateur pour que des start-up à fort potentiel dans nos
domaines soient capables de générer des réponses pour garantir
l’alimentation d’une population en forte croissance », conclut Matthieu Leroy, directeur des systèmes informatiques et de communications.
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